Une mise en application de mon obéissance
Datte: 26/10/2017,
Catégories:
ff,
inconnu,
caférestau,
fsoumise,
fdomine,
humilié(e),
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Masturbation
intermast,
Oral
confession,
initiatiq,
Lesbienne
sm,
... faire mieux. Est-ce que tu mouilles, cochonne ?— Oui, beaucoup…— Prends ce mouchoir, et rentre-le dans ta chatte jusqu’à ce qu’il soit trempé.— Là, devant elle ?— C’est un ordre ! Les derniers mots de Corinne ont été prononcés si fort que la cliente ne peut plus ignorer notre stratagème. Elle serre les cuisses en se tortillant sur sa chaise, comme si elle avait une envie pressante. Elle se met à frissonner alors que je passe le mouchoir sous ma robe. Mon sexe est tellement trempé, que je n’ai aucune peine à l’introduire, mais Corinne me dit de faire durer le plaisir, en le rentrant tout doucement. Le contact du tissu sur les lèvres me fait frissonner. Je suis au bord de la jouissance. J’effleure mon clitoris, la jouissance monte, furieuse, et je suis prise d’un spasme sans équivoque. — Tu viens de jouir, salope, dit Corinne.— … La cliente en reste bouche bée, mais n’est pas dupe de la situation. Je retrouve peu à peu mes esprits, et je vois la main de la femme s’agiter frénétiquement sous sa jupe, qui s’est légèrement troussée. On peut d’ailleurs deviner un petit bout de dentelle. Elle est en train de se branler discrètement, mais sûrement. Corinne dit alors : — Enlève le mouchoir de ta chatte, lève-toi et va le déposer sur sa table. Je tire sur le morceau de tissu lentement, et je sens le fruit de ma jouissance sur les doigts. Puis je me lève, le regard fiché dans celui de la cliente, et je m’approche de sa table. Elle rougit violemment lorsque je dépose le mouchoir sur ...
... la table, avant de retourner m’asseoir en prenant un malin plaisir à tortiller du cul. Corinne me fait un grand sourire, puis elle écarte les cuisses, et je constate qu’elle n’a pas de culotte, et que sa chatte luit de plaisir. Elle est encore plus garce que moi, la salope, me dis-je. Je m’installe et nous nous mettons toutes les deux les jambes écartées face à la jeune femme, qui ne sait plus ce qu’elle doit faire. Elle est toujours pivoine, et sa respiration s’accélère. De longues secondes s’écoulent, avant qu’elle ne tende la main vers le mouchoir imprégné de mes sécrétions. Délicatement, elle le porte à ses lèvres, et le sent avec un plaisir non dissimulé. Son corps se raidit, et nous la voyons jouir le plus silencieusement possible. Ayant repris une posture plus convenable, elle range le mouchoir dans son sac, avant de lécher discrètement ses doigts. Prenant un stylo, elle griffonne sur une carte, qu’elle dépose ostensiblement sur sa table. Elle se lève ensuite et s’en va, non sans nous avoir adressé un regard appuyé. Son allure est superbe, et nous la regardons s’éloigner, l’air songeur. — Tu vois que tu ne l’as pas laissée indifférente, dit Corinne. Va donc chercher le carton sur sa table, mais sans le lire ! Je rapporte le carton à ma maîtresse, et je m’assieds à côté d’elle. Elle me prend alors la main et la dirige vers son sexe trempé. — Fais-moi jouir, vite. Je fais alors pénétrer deux doigts dans sa chatte, le plus discrètement possible, parce que les passants ...