1. Tic ! Tic ! - 1


    Datte: 01/02/2021, Catégories: Anal Humour, Mature,

    Une nouvelle aventure de Paul et MarieMontréal, 31 octobre 2015Une pluie torrentielle s’abattait sur Montréal en cette nuit froide de la fête Halloween. Portée par des vents violents venus du Grand Nord qui soulevait la poussière et faisait tourbillonner les feuilles mortes, cette pluie se transforma rapidement en verre-glas qui crépitait maintenant aux fenêtres des maisons et des immeubles de la ville, recouvrant tout d’une mince pellicule de glace.Au fond d’un cul-de-sac discret dans l’un des cartier les plus riches de la ville, au pied du Mon-Royal, les arbres centenaires entourant le musé Lemieux, un ancien cabinet des curiosités, fermer au public depuis des années 50, commençait a ployer sous le poids de la glace et de grosses branches cassait net. La grande maison de 35 pièces, bis centenaire, habiter par un couple célèbre, avait fait la joie des enfants plutôt en soirée, avant que la pluie ne commence. Tous les petits montres passant l’Halloween avec leurs parents avaient été émerveiller par cette grande demeure de style victorien qui avait tout de la maison des horreurs classiques, surtout à la tombée de la nuit ; avec ses murs recouverts de lierre, sa grande tour surmonter d’une girouette en forme de chauve-souris, ses nombreuses fenêtres sombres et mystérieuses et sa promenade au sommet du toit en pignons. De plus il y avait une multitude de décorations d’Halloween installée par la propriétaire sur la pelouse et l’immense véranda qui faisait tout le devant de la ...
    ... maison. Citrouilles, squelettes, zombies et sorcières grimaçantes se côtoyaient pour la plus grande joie des enfants. Ceux-ci avait tous été surpris de voir la vedette du petit écran en personne Marie Lemieux et son mari Paul Tremblay venir leur ouvrir pour leur donner des bonbons et même les parents en avaient profiter pour se faire poser avec eux. Ce que Marie et Paul faisaient toujours avec le sourire. Les soirs d’Halloween, c’était la maison la plus courue de tout le cartier, surtout parce qu’elle avait la réputation d’abriter de vrais fantômes, de vrais squelettes, de vrais dinosaures et un vrai Sasquatch naturaliser ( du moins, c’est ce que ce disait les enfants ) et bien d’autres choses étranges apparemment.Mais vers 10 h, à la nuit tombée, une fois les petits monstres rentrer chez eux, occuper a dévorer leurs montagnes de bonbons avant de tomber malade et la pluie commencer, un taxi stoppa devant la grande demeure pour débarquer une passagère et repartit aussitôt. Une autre vedette du petit écran abrité sous un grand parapluie noir, qui alla sonner à la porte du musée. Un très joli petit bout de femme avec de longs cheveux noirs au reflet bleuté, en jean moulant et manteau gris, qui dit a la maîtresse de maison en prenant un petit air coquin quand celle-ci ouvrit :— Bonsoir, Madame, je peux avoir des bonbons.— Oh, la belle jeune fille, fit Marie en riant ( une grande femme dans la cinquantaine, mince aux cheveux roux, en blouse blanche et jean moulant, ancien mannequin, ...
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