Tic ! Tic ! - 1
Datte: 01/02/2021,
Catégories:
Anal
Humour,
Mature,
... beauté unique qui faisait fantasmer tout ses fans, dont je faisais partie depuis fort longtemps. Elle gémissait en lâchant des ( ah oui ! ah oui, oh Paul ! Hum, c’est bon ! ) vraiment excitant avec sa voix au timbre si particulier que tous les amateurs de télé connaissaient bien. Coucher sur le dos, accrocher à mon cou, pieds croiser sur mes reins, nos pubis se tamponnaient de plus en plus vite ce qui secouait rudement ses beaux petits seins que j’avais tant embrasser et caresser quelques minutes plutôt, avec ma femme.On l’avait littéralement attaqué dès que l’on s’était jetés sur notre grand lit tous les trois après s’être déshabillé à toute vitesse. D’abord les seins, puis le sexe et le cul en duo avec les doigts et la langue jusqu’à ce que Marie-France se pâme de plaisir en plein orgasme en rougissant. Ensuite les femmes m’avaient pratiqué une double fellation - grandement appréciée - avant que je ne saute entre les cuisses de Marie-France, fou de désir, ne pouvant plus me retenir. Faut dire qu’elle était particulièrement belle et excitante, une femme enfant, d’une grande beauté comme je le disais, avec de longs cheveux noirs à la japonaise. Mince et sexy, Marie-France ne semblait pas vieillir, tout comme ma femme, pourtant, elles allaient fêter leurs 50 ans cette année toutes les deux. Marie-France était l’un des plus gros fantasmes télévisuels du Québec avec ma belle bombe rousse. J’eus beau essayer de me retenir je n’en pouvais plus, j’allais jouir, surtout avec Marie ...
... qui maintenant me léchait le derrière et celui de son amie ou me mangeait les couilles en agitant la langue avec un doigt dans le cul de l’un ou de l’autre. Seigneur ! Belle et vicieuse toutes les deux, le paradis !Marie ce contentait maintenant de nous caresser en sachant très bien à quel point cela m’excitait d’être avec elle et sa meilleure amie au lit, mais surtout de baiser Marie-France. J’en avais tant rêvé depuis que je savais qu’elle et Marie étaient des amies d’enfance et qu’en plus, elle baisait ensemble depuis leur jeunesse. Et depuis quelques semaines, ça y était, on baisait tous les trois. Depuis que, malade, intoxiquer par de la poudre à zombie, j’avais pris Marie-France pour ma femme un matin en m’éveillant dans notre chambre plongée dans le noir à cause des rideaux tirés en sentant un corps chaud coucher sur le flanc à côté de moi. Prit d’un désir violent je l’avais enlacer en frottant mon sexe déjà dur contre ses fesses. Elle m’avait empêché de toucher ses seins, bien plus petits que ceux de Marie se doutant bien que je la prenais pour ma femme, et avait roulé sur le ventre, la face dans l’oreiller en écartant les jambes.Charger de veiller sur moi en l’absence de Marie, partie en voyage a Chicoutimi pour un tournage, Marie-France c’était endormi dans le lit et avait eu une sacrée surprise quand je m’étais mis a me frotter contre elle comme un petit chien. Je lui avais arraché sa petite culotte avant de la pénétrer sans ménagement coucher sur elle, mais sous le ...