La leçon de piano
Datte: 26/10/2017,
Catégories:
fh,
fplusag,
profélève,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
intermast,
Pour planter le décor, j’ai 46 ans et suis veuve depuis deux ans. Feu mon époux ne m’a pas laissé financièrement grand-chose et, pour arrondir mes fins de mois, je donne des cours particulier de piano, le soir, à des cancres de familles huppées de la ville. La journée, je suis répétitrice de piano classique au Conservatoire municipal. Pas de sorties, pas d’amant, juste des petits restos avec des copines et de temps en temps une toile. Tout le monde me dit : " Tu devrais refaire ta vie. À ton âge tu trouveras certainement un mari etc… " C’est sûrement vrai, mais je n’avais vraiment plus le courage de tenter une nouvelle aventure, de devoir plaire et d’avoir un homme dans les pieds à demeure. Pourtant, avec mon mètre 74, mes 67 kg, mon 90 C, mes jambes galbées à souhait, mes longs cheveux châtain foncé et mon bon caractère, j’avais encore tout pour plaire…. Quelquefois, le soir, blottie au fond de mon lit, je caressais avec douceur mon entrejambe abondamment pourvu d’une toison drue et noire, me venant d’ancêtres lusitaniens. Mon mari adorait s’en servir comme coussinet d’amour ou bien s’en repaissait de l’odeur et du goût. Comme j’aimais cela ! Maintenant, le plus souvent ma caresse ne se faisait même pas intime et mes doigts distraits ne s’aventuraient pas dans mon intimité pourtant affamée. La douche était cependant pour moi un endroit propice et là je me laissais quelquefois aller jusqu’au bout de mon plaisir mais sans en faire une habitude. Mes collègues masculins ne ...
... manquaient pas de me draguer avec des idées de finalité bien précise… vite sur le dos et profitons-en !!! Ce n’était pas cela que je recherchais… mais savais-je au moins moi-même ce que je recherchais ? J’en étais à ces réflexions empreintes de nostalgie lorsque mon portable sonna. C’était le responsable de la classe de piano qui m’appelait. Dans son bureau, il m’a présenté une dame bien mise, dans la bonne cinquantaine, me la présentant comme habitante du quartier et mère d’un jeune homme auquel elle voulait inculquer les bases d’un instrument de musique, le piano en l’occurrence. Comme j’avais encore du temps libre, cette proposition me convenait très bien et après accord sur un taux horaire très raisonnable, j’ai interrogé la mère. Celle-ci m’a raconté d’emblée que son fils venait d’avoir 18 ans, qu’elle l’avait eu assez tard d’un second mariage, que son mari voyageait beaucoup, que son John (prénom de son fils !) accumulait les retards scolaires, qu’il ne flashait que sur le sport, était inculte… et autres banalités du même genre, maintes fois entendues de parents trop laxistes. À ma question de savoir si ces leçons de piano répondaient à une demande de John ou lui étaient imposées, la réponse a été très claire : mon mari et moi souhaitons que notre fils acquière au moins un vernis culturel et qu’il puisse se tenir dans le monde que nous fréquentons. Cela me promettait une collaboration totale de ce jeune homme qui me semblait paré de toutes les qualités … ! Enfin, je dois ...