La leçon de piano
Datte: 26/10/2017,
Catégories:
fh,
fplusag,
profélève,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
intermast,
... gagner ma vie ! Rendez-vous est pris pour un premier contact et le jour venu me voici devant une belle demeure du type « hôtel de maître ». C’est « madame mère » qui a répondu à mon coup de sonnette et qui m’introduit dans un salon immense où trônait un piano « quart-queue » flambant neuf. Je m’étais vêtue assez strictement d’un tailleur foncé à jupe étroite juste en dessous du genou et d’un chemisier boutonné ras du cou. J’avais des bas assortis mais, seule fantaisie que j’adorais, ils étaient tenus par un porte-jarretelles blanc. Quelques secondes après rentrait dans la pièce une espère de malabar, taillé sportif, jeans, polo, basket (le tout griffé évidemment), cheveux ras. Il devait bien faire 1,80 m et dans les 70 kg. Somme toute assez sympa. Sa mère, très femme du monde, nous a présentés, ne lésinant pas sur la qualité et les mérites des cours que je dispensais à mes élèves. Visiblement John n’en avait rien à cirer et sa seule préoccupation présente était de me déshabiller du regard. Il le faisait d’ailleurs sans vergogne, au point que c’est moi qui était gênée. Faudra que je me méfie !! Après ces préliminaires, la mère a disposé quelques boissons sur un plateau et puis nous a quittés, disant : " Madame, je vous confie John. Mon mari et moi serions comblés s’il pouvait, dans un délai raisonnable, interpréter quelques morceaux choisis lorsque nous recevons. Je reviendrai dans deux heures, à la fin de votre cours. " Ma foi, elle prenait son fils pour une jouvencelle ! A ...
... John elle dit : " Mon fils, écoute bien les conseils de Madame. " Nous étions maintenant seuls dans le vaste salon. John me dévisagea et me dit : " Tu t’appelles comment, toi ? " Je devais absolument reprendre de l’autorité et je lui ai rétorqué sèchement : " Je m’appelle « Madame » et si je suis ici c’est pour gagner ma vie et pour t’apprendre le piano. Nous ne sommes pas copains. Ceci étant dit, où en es-tu dans la connaissance du solfège ? " Sa réponse a été dite sur un ton radouci : " Solfège connais pas et piano je n’aime pas. Ce sont mes vieux qui veulent que je leur ressemble !! " Nous nous sommes installés à une table, face-à-face, et j’ai commencé à expliquer à John les rudiments du solfège et sa nécessité pour pouvoir lire une partition. Il semblait s’en moquer comme de colin-tampon et regardait ma bouche avec obstination comme s’il voulait s’en emparer. C’était gênant. Après cela, nous nous sommes rendus au piano et j’ai montré à mon élève comment poser les dix doigts sur les touches. J’étais assise sur le siège ad hoc et John regardait au-dessus de mon épaule, son visage bien trop proche du mien. J’ai préféré ne rien dire pour ne pas créer un incident. Par contre je sentais son odeur très fraîche de mâle sportif bien sain et… je ne sais pourquoi, cela ne me déplaisait pas. John m’a ensuite remplacé au piano pour quelques exercices pratiques. Cette fois c’était moi qui devais me pencher sur son épaule pour surveiller ses mains, et son odeur venait encore plus à mes ...