1. 1 - Mise en place


    Datte: 26/10/2017, Catégories: fh, fhh, Collègues / Travail hotel, vengeance, préservati, Partouze / Groupe confession, extraconj,

    ... pousse la porte sans la verrouiller, tire les rideaux, me débarrasse de ma robe et du maillot de bain. Lorsqu’il revient, c’est une femme impatiente qui l’attend, allongée sur le lit avec une pénombre complice. — Viens, prends-moi. Eh oui, je m’entends prononcer ces paroles dignes d’une courtisane. Nathan, tu m’as trahie. Tu vas le payer, même si tu ne le sauras jamais. Guillaume se fout de mes états d’âme. Il ne voit que la femme nue qui l’attend, qui l’invite. Sûrement qu’il n’attendait pas un déroulement si rapide, si brutal, si direct. En un instant il est nu. Sa verge est déjà au garde-à-vous. Le latex la recouvre en un éclair. Il avance. J’écarte les cuisses. Il se présente, pousse à peine comme s’il ne croyait pas encore à sa bonne étoile. Je cambre mon bassin pour venir à sa rencontre. Il entre. Je sens le gland ouvrir le passage et je ne peux retenir un soupir. L’invite est évidente. Il pousse vraiment et glisse sans effort dans mon vagin. Une fraction de seconde, je me demande pourquoi je suis si humide, mais au diable la culpabilité. Il est en moi et c’est bon. Je n’ai même pas vraiment eu le temps de voir la verge qui me prend mais je sens qu’elle occupe bien la place. Celle de mon mari… Il est là et bien là. Je l’encourage. — Oui. Il est bien au fond de moi, comme si sa queue était moulée pour mon vagin. Mon Dieu que c’est bon. Ce goût de nouveauté, de fruit défendu, interdit par la morale, la fidélité, ce serment du mariage rompu par Nathan. Il bouge. Je ...
    ... voudrais qu’il reste immobile, mais aussi qu’il me baise. Tout, je veux tout. Il bouge, d’abord doucement, comme pour prendre pleinement conscience du terrain conquis. Pensez, une femme mariée, des enfants, des amants peut être. En tout cas une femme expérimentée que l’on ne peut pas satisfaire par une baise rapide et une giclée de sperme. Je suis dans sa tête. — Baise-moi. Voilà, c’est dit. Mes jambes se referment sur lui. Il est emprisonné et doit sentir mon envie, mes talons sur ses fesses fermes que maintenant je découvre aussi avec mes mains. Il bouge en moi. Sa verge vibre. Elle semble animée de sa propre vie. Il recule. Je sens un vide en moi. Il est sorti. Oui, il revient. Que c’est bon de se sentir envahie, pleine de ce vit chaud et ardent. Ses couilles tapent mes fesses. Ses mains palpent ma poitrine, découvrent mes tétons pointés qui n’attendent que ses caresses. Il a trouvé son rythme. Il me besogne. Son visage est tendu, son regard ailleurs. Je suis la spectatrice de cette scène. Mon clito demande mon attention. Une main quitte ses fesses et vient me caresser. Avez-vous remarqué que pendant le sexe, nos organes vivent sans nous demander la permission ? Ils font des choses que nous n’oserions jamais faire. Mon autre main s’aventure dans la raie de ses fesses et un doigt vient caresser son anus. Il sursaute, mais ne dit rien. Il doit penser que surtout il ne faut pas réagir, de peur de rompre le charme. Mon index insiste et force le passage, peut-être pour la première ...
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