Justine, Jérôme, Rex et la famille. (7)
Datte: 03/02/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
Justine, Jérôme, Rex et la famille. Ch7. Rex et les cousins. Justine et moi avions baisé une bonne partie de la nuit. Le lendemain matin, le mal aux fesses était toujours présent, mais nous nous sommes malgré tout fessés mutuellement au réveil, comme ça, pour voir, et nous avons aimé. C’est Justine qui a commencé à me fesser à mains nues. Je me suis mis la tête sous l’oreiller. Assise sur mes mollets, elle me claquait les fesses l’une après l’autre avec force. Je suis resté impassible, savourant ce plaisir douloureux ; mes fesses me brûlaient presque, j’y prenais un immense plaisir, je bandais. Elle arrêta sans doute par manque d’endurance ou pour cause de mal aux mains, et elle me demanda de lui en faire autant. Allongée sur le ventre, la tête posée sur ses poings serrés, elle ne bougeait pas ; ses fesses se contractaient à chaque claque et prenaient de la couleur. Plus je la claquais, plus je bandais ! Les dernières claques furent terribles ; elle poussa un cri et se releva, une larme au coin de l’œil. Elle me sauta au cou, enroula ses jambes autour de ma taille et vint s’empaler sur mon sexe tendu. Je sentis son vagin se contracter : elle avait un orgasme. Nous ne pensions pas qu’il était possible de jouir dans la douleur ; eh bien, si ! C’était très intense, ce mélange d’excitation, de coups ; ces jeux interdits étaient un plaisir indescriptible. Quand nous sommes descendus pour déjeuner, maman a tenu à inspecter nos derrières dont la couleur rouge était toujours ...
... visible, et pour cause ! Elle avait certainement dû entendre ce que nous avions fait ; elle nous fit nous allonger sur les canapés, sur le ventre de façon à nous enduire le postérieur de crème. Quel instant magique ! Maman m’enduisait les fesses avec une crème à effet glaçon ; elle le faisait avec la délicatesse d’une masseuse professionnelle. Elle me susurra à l’oreille : — J’espère que tu bandes, au moins ? Évidemment que je bandais ! Qui ne l’aurait pas fait ? Tu imagines, te faire peloter le cul par ta mère au réveil ? Un pur bonheur ! Après cette séance je suis allé prendre mon petit déjeuner ; maman, voyant ma queue à la verticale, eut un sourire satisfait et s’occupa de Justine. Elle a eu plus de chance que moi : maman l’a discrètement fait jouir. ----------- Nous avions cherché les caméras ; il y en avait. Oui, mais où ? Impossible de les trouver ; nous avons abandonné. L’idée que nous étions sans doute filmés était encore plus excitante, et nous en profitions. Peut-être nous regardaient-ils faire l’amour ? Ou peut-être pas ? Le mystère restait entier et l’excitation totale. Et cet atelier aménagé en donjon avec tous ces sextoys ? Décidément, nos parents étaient aussi vicieux que nous, ou plutôt l’inverse : nous ne pouvions pas renier nos origines. --------- Nos cousins, que nous ne connaissions pas, étaient issus d’une famille riche exilée à l’étranger pour... enfin, peu importe. Toujours est-il qu’ils arrivèrent l’après-midi-même pour passer quelques jours avant de ...