Justine, Jérôme, Rex et la famille. (7)
Datte: 03/02/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
... récupérer leur animal. Papa et maman partirent les chercher à la gare qui se trouvait à une heure de route, nous laissant ainsi au moins trois heures de liberté. Ce matin là, comme tous les jours, je me préparais pour aller courir dans les bois avec Rex lorsque Justine me demanda si j’allais à la rivière. Comme je lui ai répondu par l’affirmative, elle décida de nous accompagner. Nous avons emprunté le chemin qui traverse les bois. Justine trottinant devant moi, je pouvais admirer ses fesses suivre le rythme de sa queue-de-cheval battant la mesure à chacun de ses pas. Rex ne se souciait guère de savoir si nous le suivions ou pas ; il filait à toute allure. Par chance, les insectes, les feuilles, les branches tombées au sol le distrayaient et l’occupaient de temps en temps. Nous avons enfin réussi à le rejoindre à la rivière où il lapait de l’eau. Fourbus et essoufflés, nous décidâmes de faire une pause et de nous rafraîchir. Le débardeur de Justine, trempé de sueur, laissait voir par transparence ses seins ; ses tétons pointaient à travers le tissu. À cet endroit quasi désert, nous avions pris l’habitude de nous baigner nus. L’eau fraîche de la rivière nous invitait à la baignade ; nous nous déshabillâmes entièrement et je plongeai dans l’eau presque glaciale. Justine m’avait dit qu’elle voulait souffler un peu avant de se baigner. Elle alla s’étendre sur un carré de verdure ensoleillé ; Rex la rejoignit et s’allongea à côté d’elle. Seul dans l’eau, je décidai de faire une ...
... course en solitaire. Je me suis mis à nager le plus vite possible, et au bout d’un bon moment de course folle contre les éléments (je nageais à contre-courant) je fis demi-tour. Plus je m’approchais de l’endroit où Justine et Rex se trouvaient, plus j’entendais des gémissements qui ressemblaient à ceux de Justine. Caché derrière les buissons, j’observai ma sœur allongée sur le dos, les jambes écartées, se caresser les seins en gémissant. Rex lui lapait la chatte, et visiblement il appréciait, à en croire le rythme des battements de sa queue. Je vis son sexe sortir de son fourreau, long et fin. Je n’en croyais pas mes yeux... J’étais maintenant certain qu’elle allait passer à l’acte. « Laisse-moi faire et ne me fais pas chier, sinon on ne fera plus jamais rien ensemble ! » m’avait-elle dit. Je me trouvais devant un grave dilemme : ou je la laissais faire, ou je l’empêchais au nom de la morale. C’est ma bite qui trouva la réponse : « Tu parles comme s’il y avait une morale dans cette famille ! » Dure comme une batte de baseball, je me suis mis à la caresser et je l’ai laissée faire. Justine gémissait « Ah, oui, que c’est bon... Vas-y, mon chien, lèche, plus fort ! » Le chien y mettait une telle ardeur que Justine gémissait de plus belle. Puis, d’un mouvement rapide, elle se retourna, se plaça à quatre pattes, les coudes au sol et le cul bien en l’air. Le chien comprit immédiatement ce qu’il fallait faire. Quelques coups de langue, et hop, ma belle : un coup de bite dans les ...