1. Week-end de garde


    Datte: 26/10/2017, Catégories: fh, jeunes, cadeau, uniforme, grosseins, douche, Oral pénétratio, fsodo, totalsexe,

    Merci à ceux qui ont lu mon premier récit, à ceux qui l’ont noté et évalué, et à ceux qui m’ont contacté pour me faire part de l’intérêt qu’ils ont porté à cette histoire vécue. Je la continue donc, en essayant d’améliorer l’ensemble de ce texte pour que ce second volet plaise autant que le premier, toujours sans prétentions et dans le but de partager le plaisir vécu.Résumé de la première partie : Effectuant un service long dans un hôpital interarmées, je vis les premiers jours d’une relation qui durera très longtemps avec une jeune et jolie volontaire féminine, dotée d’attributs mammaires exceptionnels. Au réveil de notre première nuit d’amour, je quittai mon sergent aux aurores pour sortir le plus discrètement possible du casernement féminin. Une fois ma chambre regagnée, je me lavai et m’habillai pour aller prendre mon petit déjeuner. En arrivant à la cambuse, je pris mon plateau avant d’entrer dans le réfectoire. Mon sergent était déjà là ! Attablée avec d’autres volontaires féminines, elle me dévorait du regard, jusqu’à ce que je m’asseye un peu plus loin sur une autre table, seul, face à elle. Elle ne m’avait pas quitté des yeux et en voyant une ou deux autres volontaires féminines se retourner pour me regarder en me souriant, je compris que notre nuit n’était déjà plus un secret. Les autres volontaires étaient de bonnes amies, mais il n’avait jamais été question d’autre chose entre nous. Toujours embrumé, je regardais mon supérieur qui continuait de me fixer. Après ...
    ... avoir fini son petit déjeuner, elle se leva pour sortir du réfectoire. De profil, je contemplais ses formes généreuses passer devant moi. J’avais l’impression qu’elle avait posé son imposante poitrine sur son plateau. Elle tourna la tête vers moi et me fit un clin d’œil que je lui rendis de suite, tout en terminant mon café. Je sortis de la cambuse en même temps qu’une amie volontaire qui, en me rattrapant, me lança : — Alors ? T’es un bon coup il paraît ?— Euh, balbutiais-je, oui, enfin, j’espère.— Katia n’a pas dit grand-chose, mais elle avait l’air soufflée, me dit-elle en secouant la main. D’un naturel modeste, je n’insistai pas pour connaître ce qu’avait pu dire mon sergent préféré au sujet de notre nuit d’amour. Apparemment, elle avait été aussi comblée que moi. Dans le courant de la matinée, en navigant dans les bureaux, je la croisai dans un couloir, toute souriante. Nous nous sommes embrassés, embarrassés, sur la joue : — Comment vas-tu ? lui demandais-je.— Très bien. Dommage qu’on soit vendredi et que tu partes en permission ce soir.— Je suis de garde aux urgences demain soir, alors pas de perm pour moi ce week-end. Tu ne…— C’est pas vrai ! me coupa-t-elle. Je ne rentre pas non plus, je n’ai plus de ticket de train pour ce mois. On va pouvoir se voir alors ?— Pas de problème. Ce soir si tu veux.— Alors à ce soir. Vers neuf heures et demie, Ok ?— Ça marche ! À ce soir. Je pris congé de mon supérieur, tout heureux de la perspective d’une nouvelle nuit d’amour. Dans ...
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