1. Week-end de garde


    Datte: 26/10/2017, Catégories: fh, jeunes, cadeau, uniforme, grosseins, douche, Oral pénétratio, fsodo, totalsexe,

    ... étaient plus forts et plus rauques : — Vas-y. Plus fort… Fais-moi mal, je te dis ! Je ne répondis pas. J’accélérai la cadence et l’énergie de mes va-et-vient, ce qui eut pour effet de l’entendre crier plus fort. Ses râles m’excitaient terriblement. Elle paraissait en transe, comme si je n’étais plus là. Je voulus lui rappeler ma présence en augmentant encore la force de mes coups de boutoir. Ses épaules et sa tête se posèrent sur son oreiller. Une de mes mains passa de sa poitrine que je malaxais vers son intimité que je commençai à caresser. L’effet fût immédiat : — Oui, oui… c’est trop bon. Continue, je vais jouir. Plaqué sur elle, je continuai à la chevaucher et à lui caresser l’entrecuisse. Je sentis le plaisir monter en même temps que je la sentis venir et au même moment, nous avons crié notre plaisir dans un long râle harmonieux. Nous nous sommes écroulés dans les draps, essoufflés et en sueur. J’étais toujours en elle, au garde-à-vous. — Pour une première fois, je ne suis pas déçue, m’avoua-t-elle.— J’ai adoré, lui confiai-je en continuant lentement mes va-et-vient.— Tu es encore en forme ? Pour seule réponse, je poursuivis mon mouvement, doucement ; mais le plaisir revint rapidement et je jouis à nouveau dans ses fesses, encore plus intensément. Nous sommes ainsi restés collés l’un à l’autre un long moment, avant de nous endormir, enlacés. *** Je fus réveillé le lendemain par une magnifique surprise : mon sergent préféré me prodiguait une fellation matinale. Autant ...
    ... celle de la douche avait été un peu maladroite, autant celle-ci était digne d’une experte en la matière. Au-dessus de moi, au niveau de mes jambes, et appuyée sur ses mains, elle contrôlait mon sexe uniquement avec sa bouche, alternant un rythme lent plein d’attentions douces et précises, avec des accélérations voraces qui faisaient valser ses longs cheveux bruns. Le plaisir était à son paroxysme lorsqu’elle serrait ses lèvres au maximum de l’acceptable. J’allai exploser. Elle le perçut et s’arrêta pour remonter en baisers le long de mon corps. Cette fois, c’était elle qui me chevauchait. Elle frotta son sexe contre le mien quelques instant, puis s’empala doucement en gémissant. Elle était au-dessus de moi, magnifique, ses mains appuyées sur mon torse, ses seins envahissant ma vision. Elle se faisait plaisir alors que je redoublai d’efforts pour ne pas jouir. Je tins un moment comme cela avant de la serrer contre moi. J’embrassai goulûment ses seins lourds et pris le relais en bougeant très rapidement mon bassin. Le plaisir monta crescendo et j’éjaculai sur ses fesses dans un râle animal. Je ne sus si Katia avec pris autant de plaisir que moi, mais elle resta sur moi de longs instants pour reprendre son souffle. Nous avons loupé le petit déjeuner à la cambuse, et sommes restés au lit toute la matinée, tranquille, à discuter comme un vieux couple. Je parvins de justesse à sortir du casernement féminin sans me faire prendre et repris ma vie militaire. Ce week-end de garde avait ...