1. Hautefort au mois d'août. (2)


    Datte: 03/02/2021, Catégories: Inceste / Tabou

    ... chapitres. Enfin je les survole plus que je ne les lis. Mon esprit est ailleurs. Trois chapitres donc et j’estime qu’il a suffisamment attendu. Je récupère mon téléphone. "Sobre, très échancrée et légère comme unecaresse de soie pourpre." La réponse ne se fait pas attendre. "J’aime ta façon de peindre le réel. Nous serons là dans un petit quart d’heure." 11h48 Je letrouve affairé dans la cuisine: - "Où est Céline ? - Elle a des hauts le cœur. Elle est montée se reposer un peu. Je plisse les yeux, esquisse un petit sourire et demande avec malice : - Ce matin aussi elle a eu un haut le cœur ? - Oui, mais elle a fait ce que je lui demandais comme tu me l’avais imposé. L’envie de jouir sur son visage était si forte. Je me suis retenu tu sais. Vraiment. - Elle aime ça ? dis-je incrédule. - Quoi donc ? - Tu sais bien… - Oui, mais je veux que tu le dises. Elle aime quoi ? - Que tu jouisses sur son visage. - Elle adore ça. Pas toi ? - Ah non ! Peu importe où, mais pas mon visage. Je trouve ça dégradant. - Tu as tort. C’est si beau...Viens par ici." ajoute-t-il en posant une casserole sur la table juste derrière moi. Il accroche mon regard au sein, son index plonge dans la casserole et en ressort nappé de crème pâtissière. - "Tiens, goûte. J’ai besoin de ton avis." Je suis acculée à la table, il se tient face à moi, très près. Entre nous, son doigt, qu’il me présente à hauteur de bouche. Je l’engloutis, lentement, sensuellement. La crème chaude affole mes papilles. Mes lèvres ...
    ... caressent sa peau, ma langue danse sur ses phalanges. Je le lèche et le suce avec gourmandise avant de le lui rendre. Il le porte à sa bouche et sourit, satisfait. - "Il manque de l’eau de fleur d’oranger peut être. - Oui, très juste. Sur la table là. Passe la moi." Un petit haussement de menton m’indique la direction. Je me penche, buste sur la table, bras droit tendu pour saisir la bouteille. D’un pied il écarte habilement les miens. J’aperçois notre reflet sur la baie vitrée et y croise son regard lubrique. Sa main frôle ma hanche, la contourne. Je creuse en peu mes reins. Joue avec le feu. Pousse mes fesses contre sa braguette, exerçant une pression sans équivoque. Ma mère du fond de son transat m’adresse un petit signe de la main. Je lui réponds en trémoussant mon petit cul. bfbaaum Ses mains puissantes empoignent alors brusquement ma taille. Son bassin comprime mes fesses. Si fort que je sens sa queue durcie à travers l’étoffe. Elle repousse le tissu de mon short entre mes fesses et tente de s’y faire une place. Il augmente encore la pression. J’ai la sensation que sa queue va transpercer nos vêtements et me prendre à tout instant. - "Bordel Charlotte tu mériterais que je te prenne sur le champs ! Violemment." grogne-t-il avec colère. Je suis allée trop loin. Je ne bouge plus. Des pas approchent. Il fait volte face. Mon père fait irruption dans la cuisine: - "La viande est presque prête, vous en êtes où ? demande-t-il en me tendant le flacon que j’essayais d’attraper. - La ...