La mauvaise pente (6)
Datte: 04/02/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... plus ! C’est vraiment une grosse pute ! » Et Isabelle, leva son pied et caressa la chatte rose aux lèvres corail du bout de son escarpin, tentant d’y rentrer l’extrémité de la chaussure, faisant des petits mouvements de va-et-vient ; elle la branlait, Stéphanie râlait, geignait comme une génisse en chaleur. « Quel gros cul de catin ! Louis, donne-moi ta ceinture ! » Je n’osai pas contrarier ma belle-sœur et ramassai ma ceinture Louis Vuitton, en cuir de vachette véritable. Quand le premier coup s’abattit en travers de son fessier bien bombé, Stéphanie rua puis tenta de s’échapper en avançant à quatre pattes ; mais je la saisis par le collier et maintins sa nuque fermement. Lentement, Isabelle, lui administra une demi-douzaine de coups de ceinture qui laissèrent des marques rouges sur la peau veloutée de ses fesses. Stéphanie ponctuait chacun de ses coups par un "AAAH !" aigu et retentissant. Ayant terminé sa besogne, elle regarda avec mépris une dernière fois la croupe nue et offerte, désormais zébrée de marques rouges et bien nettes, et elle cracha dessus. Puis elle lâcha ma ceinture et dit : " - Vas-y, Louis, encule-la encore un coup, défonce-lui la rondelle à cette salope. Ça lui fera les pieds." Etant toujours en proie à une érection presque douloureuse, je m’accroupis au-dessus du jeune et frais cul féminin, et je forçai la rosette encore lubrifiée. " - OOOAAAAHH" poussa Stéphanie, tandis que je m’enfonçai lentement en elle, et jusqu’au fond de ses entrailles. Son cul ...
... serré palpitait et se refermait sur mon vit en feu. Je la pris par les reins et l’embrochai en de longs va-et-vient, me mis à la pilonner en cadence. Isabelle qui en avait assez vu, et se sentait suffisamment vengée, me fit un petit signe pour m’indiquer qu’elle s’en allait discrètement. Je continuai ma besogne, bourrant la jeune femme avec force, la faisant gueuler, haleter. Elle avait l’air d’apprécier le traitement, et ses cris montèrent crescendo, annonçant l’acmé proche de son plaisir. N’ayant pas envie de la faire jouir, je me retirai et lui lançai cet ordre qui claqua : " - A genoux, Stéphanie ! Je n’ai pas l’intention de vous faire jouir, je ne suis pas là pour ça. Maintenant si vous voulez vous branler, vous pouvez..." Je commençai à me faire reluire, à me polir le chinois à une cadence rapide, ma queue tout près de son visage. Puis je m’accroupis pour descendre un peu plus bas et j’attrapai ses deux nichons fermes à pleines pognes. Je plaçai ma queue entre ses roploplos et me mis à lui baiser les seins en les serrant l’un sur l’autre et sur mon membre. Stéphanie avait glissé une main entre ses cuisses et se caressait la chatte, ses lèvres intimes, et elle avait glissé un doigt en elle, qui ne restait pas inactif. Mon plaisir mettait du temps à venir. A un moment donné, je retirai ma queue et lui intimai de me sucer le gland. Elle le fit du mieux qu’elle put, le tétant comme elle aurait fait d’un sein. Elle s’astiquait de plus en plus fort, de plus en plus violemment, ...