De Hervé à Vanessa, chienne soumise (34)
Datte: 04/02/2021,
Catégories:
Transexuels
... claque sur la cuisse la rappelle à l’ordre. — Pardon. Dit-elle d’une voix timide. Elle continue à me branler lentement. Je lui demande de moins me serrer, de me caresser. Elle a compris et c’est à peine si je sens la pression de ses petits doigts, juste la chaleur de ses mains qui m’irradie. Je me penche vers elle et joue avec ma langue sur ses lèvres. Elle va pour m’embrasser. — Non, tu joues juste avec ta langue. Sort la… Voilà, c’est parfait… Hummm. On joue un balai où les danseuses sont nos langues. De mon autre main, je pars agacer le téton qui est en face. — HUMMMM… OUIIIII… — Chut, concentre-toi sur le plaisir que l’on se donne. Nos mentons dégoulinent de nos salives. — Joue avec mon sein, avec l’anneau… Elle y va à l’aveugle. Sa maladresse me fait rire… — Quoi???????? — CHUTTTT… Hummmm… Ouiiiii… — Chut… Me fait-elle à son tour. Elle est mignonne. Elle remonte jusque sur mon gland et s’amuse de mon anneau. Là c’est moi qui réagis, son regard brille, elle est fière d’elle et elle le peut. Il n’y a qu’avec Malika que j’ai partagé ces moments érotiques. Vais-je lui en parler, surement. Mais pour l’instant je me concentre sur le plaisir que l’on est en train de partager. Je branle son clitoris entre mon pouce et mon index. Elle l’a d’ailleurs plutôt long. Je l’ai sorti de sa gangue de chair et doit avoir la taille d’un gros poix-chiche. Elle se raidit lorsque je le pince, mais ne dit rien. On joue à ce petit jeu durant de longues minutes, de très longues minutes… Je ...
... sens que le point de non-retour est proche. Je m’active de plus en plus sur son gros bouton en le branlant activement. Elle m’imite. Je sens que ça bout dans mes couilles. Pour sa part elle a refermé les yeux. Je la laisse partir dans son monde. Sa main s’active en me serrant la bite fermement. Sa glisse tout seul, mon liquide n’ayant pas cessé de s’échapper. Elle se raidit, ses mouvements sont plus saccadés. Mon jus monte inexorablement dans mon conduit et j’explose en même temps qu’elle. C’est un geyser. Mon sperme gicle avec force et nous arrose le visage. Elle n’arrête pas pour autant de me branler. Mon éjaculation l’étonne, mais chut. Elle a compris. On est couverte de semence. Nos visages, nos poitrines, nos ventres, nos cuisses et nos sexes. Tout y est passé, pas un centimètre carré de nos corps n’est resté vierge. Même nos dos et nos cheveux. On s’embrasse se moquant bien de l’état dans lequel on doit être. On se savonne de mon jus, on se masse de mon sperme. Ça pue, mais cette odeur ne nous gêne pas, au contraire, elle nous enivre. On se lèche le visage pour s’échanger nos récoltes. Elle a rouvert les yeux, elle a le regard rieur. Sans attendre qu’elle redescende de son petit paradis, je l’allonge et la pénètre d’un coup lent, mais profond. Elle a eu un hoquet quand ma verge est venue percuter son utérus. — Ça va?? — Oui, oui… Me répond-elle doucement. Je ressors entièrement et la perfore d’un trait, puissant et je loge ma tête dans son coup. Elle crie : — ARGH, tu me ...