Osseuse
Datte: 04/02/2021,
Catégories:
fh,
jeunes,
vacances,
volupté,
fsoumise,
hdomine,
odeurs,
Oral
pénétratio,
fdanus,
init,
— Tu serais prêt à le faire ? m’a t’elle demandé ? Oui, j’étais prêt à tout. Elle avait le front couvert de perles de sueur et ses cheveux bruns en bataille collaient à ses tempes humides. Elle me répète : — Tu sais ce que j’aime ?— Non ?— La langue, j’aime la langue partout, même où tu n’oses pas la mettre.— C’est-à-dire ?— Entre mes petites fesses bien rondes.— Ah je vois. Et qui te dis que je n’ose pas mettre ma langue à cet endroit ?— Bah les mecs ne mettent jamais leur langue entre les fesses de leur nana d’un soir ! Déjà qu’ils hésitent à la mettre entre les cuisses.— Et la langue entre les cuisses t’aimes bien ?— À ton avis ?— Ça se tente… Elle s’allonge, se jette sur le matelas pneumatique. Il fait nuit, la tente est silencieuse. À l’exception de son souffle et des battements de nos cœurs. Elle enlève son tee-shirt noir dans un froissement de tissu. Elle passe ses petites mains entre ses fesses et la ceinture élastique de son short bleu. Elle sent la sueur, le sel d’eau de mer. Sa bouche me donne une senteur d’alcool, les restes de sa Vodka au poivre. Plus précisément, il flotte dans l’air l’odeur des beignets. Trop gras, trop cuits. Elle s’en est gavée ce soir. Son haleine offre le parfum d’huile recuite, de sucre. Ses doigts fins sont poisseux. Reste des beignets sûrement. Son cou au goût de sel est tendu, gonflé. Nos lèvres s’accrochent, se mangent, se mordent. Nos dents s’entrechoquent. Nos langues se caressent, un peu, pour voir. Puis un peu, pour jouer. Et ...
... encore un peu parce que c’est comme ça. Plus profondément, plus intensément. C’est la règle. Nos lèvres se battent, la tienne, la mienne, les tiennes, les miennes et soudain ma langue, ta langue. Sa salive au goût des croustillons humidifie sa peau. Son menton, mes lèvres. Ma langue. Je pose mes doigts où il faut, derrière ses oreilles. Elle est perlée de transpiration. Un goût de parfum, d’excitation. Parfum d’excitation. Nos lèvres se délivrent, son souffle m’appartient, m’enivre. J’avale son menton, son nez. Elle se débat. Sans les mains. Sa bouche capture ma langue. Le combat recommence. Le matelas soupire. Je m’agenouille au-dessus d’elle. Sans son tee-shirt. Elle est nue. Sans sous-vêtements en haut. Son short s’en va. Elle agite les jambes, sa petite culotte noire vient se poser dans sa main. Elle l’amène sous notre nez, on en rigole. Je respire les tissus, les élastiques, le coton noir. Une odeur d’intimité. Ses seins sont fermes, tendus, petits. Presque frêles. Les seins d’une enfant, encore. Je mords son oreille, je lèche sa joue. Sa peau, grasse, fortement salée. Une caresse du bout de la langue, sur son menton. Je prends son cou entre mes dents. Tente une morsure. Elle se laisse faire, passive, lascive. Je mords, la peau crisse. Un goût de fer. Un gémissement. Inaudible. Son corps se contracte. Enfin. Ses mains cachées et inactives attaquent. Se posent sur la peau en bas de mon dos. Le pli des reins. Ses ongles se plantent, s’accrochent, griffent. Douleur. Un rendu ...