Osseuse
Datte: 04/02/2021,
Catégories:
fh,
jeunes,
vacances,
volupté,
fsoumise,
hdomine,
odeurs,
Oral
pénétratio,
fdanus,
init,
... collante, visqueuse. J’explore. Mes mains sur ses épaules. Son corps maigre, sec, cabriole contre le mien. J’entre, mon ventre contre le sien. Le prince au fond de sa cachette. Elle se déchire. Elle pousse un jappement. « aïe ». Elle me serre, me rapproche. Elle s’est déchirée. Je navigue entre fluides et filets de sang. Elle pleure. Murmure. Elle me rapproche, ne veut pas être seule. Pourtant elle n’a jamais été autant accompagnée. Dans son corps. Son cou, une trace de dents. Sa bouche me cherche. Elle est tendue, plaquée contre le matelas. Les muscles bandés. Le ventre dur. Le cœur battant. Les yeux ouverts. Elle attend, sans bouger. Sans un mot, sans un bruit. Des larmes. Des baisers. Sa peau n’est plus la même. Je mords et mordille, encore et encore. Violence. Elle tire mes cheveux. Je cabriole sur son corps frêle. Entrée, sortie, descente, plongée, surface. Air, corps, ventre. Elle se laisse manœuvrer. L’accostage, détachement, l’accostage, détachement. Le tout les yeux embués. Je lèche ses joues. Elle me serre. Ses doigts, ses griffes dans ma chair. Je joue en elle, sur elle. Elle murmure un « préservatif » Je comprends, elle refuse mon fluide. Elle attend le plastique. Je sors. Tendu. Elle s’agite, désire m’enfiler une capote. Insiste. Et je replonge. Je la pénètre. Nos lèvres s’entremêlent. Baisers, encore. Elle murmure, jappe, pousse des petits cris. Douleur. J’allume de ...
... ma main libre. Ses yeux. Me fixent. Bleus, gris, intenses. Douce lumière. Elle jouit. Sans un mot, sans un geste. Une tension. Extrême. Elle serre les cuisses, désordonnée, me serre. M’emprisonne. Ses mains arrachent la peau de mon dos. Mon Roi étouffe dans sa vallée. L’orgasme. Sans un sursaut de ma part. Fluide, parfait. Cassant. Elle pleure. Je sautille encore sur sa peau. Je commande, elle s’exécute. Foudroyé, j’éjacule. Après l’instant de rien, le retour biologique. Dégradant. Impromptu. Plusieurs sursauts, un tressaillement. Je laisse faire ma nature, là, dans son intimité. Brûlant, visqueux, blanc. Sur les vallons, sur les pentes des collines. Elle pleure. Je respire. Elle brille. Je respire, avec peine. J’embrasse, baiser tendre. Caresses. Elle a eu son orgasme. Le ciel, le 7ème. Je la quitte, gluant. D’elle, de moi. De sperme, de sang, de cyprine. Je suis tendu. Elle embrasse. Pose les doigts sur le prince. Parcours, récolte, caresse, cesse. Elle tombe. Mouillée humide, le cœur battant, déchirée, désirante, désirée. Le ventre tendu, la larme aux yeux. Orgasmique, explorée, perdue, apeurée, Reine. Sexuellement magique. Pendant qu’elle se réveille d’un cauchemar sans motif d’angoisse, pendant qu’elle redescend du ciel, pendant que les orgasmes explosent et meurent. En une seule sensation commune. Je redescends. Vers ses cuisses visitées. Ma langue désire cet endroit. ELVEA