Élodie, toi et ta famille je vous adore (1)
Datte: 04/02/2021,
Catégories:
Lesbienne
Salut c’est votre folle de lycra Je suis Sophie, une grande et jolie fille vivant avec ma maman à Méréville le weekend et le reste de la semaine à Gif pour pouvoir suivre mes études. Je vis chez Élodie, une grande et jolie fille qui me ressemble beaucoup, qui elle vit chez ses parents. Ma maman Muriel est la meilleure amie d’enfance de Caroline, la mère d’Élodie, petits détails nous avons juste un jour d’écart et je suis la benjamine. L’année dernière nous suivions des cours de biochimie mais Élodie a jeté l’éponge car elle pataugeait, cette année, elle se lance dans une école de commerce bref elle change complètement d’orientation. Nous nous connaissons depuis notre plus tendre enfance, je n’ai jamais connu mon père et celui d’Élodie se prénomme Gilles. Toutes les deux adorons aller nous promener sur Paris car nous sommes bien belles et nous adorons voir le regard des hommes se retourner sur nous. Du haut de nos mètre quatre-vingt-deux, nous sommes très fières de nos plastiques, mais nous désirerions aussi avoir une tête bien pleine. Avec mon amie d’enfance, nous étions très intimes au point de quelquefois jouer à touche-pipi, en fait notre grand plaisir était de sentir nos culottes et nous nous tapions des délires dessus. Il nous est même arrivé de sentir les culottes de sa maman, c’est Élodie qui m’avait convertie au lycra, nous aimions les tangas mais surtout les grandes culottes qui couvraient le maximum de notre corps. La douceur de cette texture nous faisait des ...
... frissons partout, voilà pourquoi nous prenions grand plaisir à nous caresser. Dans la maison de Caroline il y avait deux chambres d’amis, mais l’une chambre m’était réservée, bien que souvent je dorme dans le lit d’Élodie. Quand l’une avait des pulsions sexuelles, l’autre avait les mêmes au même moment, régulièrement nous échangions nos culottes, nous adorions ce mélange d’odeurs. Depuis peu nous étions passées à la vitesse supérieure, à savoir que nous nous amusions désormais à nous doigter le minou. Ensuite nous nous sucions les doigts, il y avait un érotisme torride lors de ces séances de dégustation, d’autant que chaque fois nous prenions grand plaisir à avoir un regard provocateur. Caroline savait que nous jouions à touche pipi, car elle nous avait surprises à plusieurs reprises, elle prenait ça avec beaucoup de recul et surtout le sourire. Tout comme je ressemblais beaucoup à Élodie, Caroline ressemblait beaucoup à ma maman. Depuis une semaine ou deux nous avions envie de passer à la vitesse supérieure, à savoir nous donner des coups de langue sur nos abricots. Déjà quand je sentais les culottes de sa maman, je m’imaginais en train de lui butiner la friandise. Bien évidemment c’est Élodie, Plus délurée que moi, qui a passé le cap en se faufilant un jour sous les draps et en venant s’attarder entre mes jambes. C’était la première fois qu’elle faisait ça mais sa prestation était divine, pour la première fois de ma vie, je lui tenais la tête car je voulais qu’elle continue, ...