1. Élodie, toi et ta famille je vous adore (1)


    Datte: 04/02/2021, Catégories: Lesbienne

    ... avec Élodie, c’est que nous avions toujours les mêmes envies en même temps, que ce soit nous embrasser, nous caresser ou nous chatouiller le minou. On aurait dit un peu les frères Bogdanoff car nous étions même par moment capables de poursuivre la phrase de l’autre heureusement nous n’étions pas repoussantes comme eux le sont. Je pense sans vouloir me vanter qu’Élodie et moi avons dû inspirer beaucoup d’hommes lors de leurs plaisirs solitaires. tuftaahs Quand nous étions au lit ensemble je prenais grand plaisir à picorer le corps de mon amie, j’adorais son odeur intime et corporelle, le must étant de sentir nos longs cheveux s’emmêler. Comme je vous l’ai dit depuis peu nous prenions grand plaisir à doigter nos minous et ensuite nous sucer les doigts. À ces occasions nous nous astiquions le berlingot, au point de nous faire jouir de plus en plus régulièrement. Ce soir-là pour rendre la pareille à Élodie je me suis glissée sous les draps pour descendre à la cave, le moindre de mes mouvements la faisait sursauter de désir. Le fait d’être sous les draps conservait les odeurs plus concentrées et cela sentait vraiment la marée mais surtout le désir. Je me suis bien positionnée entre ses jambes, j’ai posé mes mains sur ses cuisses. Je connaissais l’odeur et le goût de son nectar intime mais je ne supposais pas une seconde combien elle était excitée. À chacun de mes coups de langue elle donnait un coup de bassin, ce qui fît qu’en peu de temps j’avais le visage recouvert de ...
    ... cyprine. De temps à autre, quand même, j’essayais de remuer un grand coup les draps pour renouveler l’air car il m’arrivait d’en manquer quand même. Ce qui m’embêtait, c’est qu’à chaque fois cela diluait l’odeur de son minou dont j’étais si friande, mais il fallait quand même que je respire. Je prenais un plaisir monstre à la butiner car elle était très réceptive, son clito, que je prenais déjà grand plaisir à exciter avec les doigts, là je le gobais. Avec ma langue je lui nettoyais le moindre recoin de ses lèvres et de temps à autre j’allais donner un petit coup de langue dans son vagin et même plus loin, vers son issue de secours. Tout son entrejambe était une zone érogène, même mon nez quand il frôlait ses parties intimes, lui faisait de l’effet. De temps à autre pour divertir mes mains, je les envoyais aller exciter la pointe des seins de ma partenaire qui, en plus d’être magnifiques, étaient vraiment très expressifs. Tout comme la mienne, sa poitrine était très proche de celle de Sophie Marceau, peut-être un peu plus opulente. Par contre, à l’image des miens, la pointe de ses tétons était vraiment de grande taille, de grand diamètre de grande hauteur et surtout très fermes. Toutes les deux étions gênées quand ces derniers étaient érigés car ils étaient juste un peu plus petits qu’un dé de couture, du coup aucun vêtement ne pouvait dissimuler notre excitation. C’était vraiment un plaisir que de pouvoir offrir cette nouvelle prestation à Élodie, bien évidemment c’était mon coup ...
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