Sissy à bord (2)
Datte: 05/02/2021,
Catégories:
Transexuels
... faisait le drap, sur son érection du matin… « D’accord, tu ne m’écoute même pas… je sais à quoi tu penses… le petit-déjeuner est servi ! » Il repoussa le drap. J’étais face à son membre tendu, dressé. Superbe. Lui qui m’avait donné tant de plaisir pendant la nuit. Lui qui m’attirait, instinctivement. Sans même y penser, j’étais déjà penché sur lui, occupé à le lécher. La hampe, le gland, les testicules, la hampe, le gland… je le pris en bouche, et il guida doucement ma tête… je sentis le gland et la hampe, jusqu’à moitié environ, frotter le long de ma langue, de mon palais, tandis qu’il pénétrait ma bouche, en ressortait, la pénétrait de nouveau… ayant saisi le rythme, il me lâcha, se laissant aller contre l’oreiller, tandis que je continuais à le sucer, tout en alternant caresse sur ses testicules, et caresse sur la partie de sa hampes qui n’était pas dans ma bouche… j’accélérais le mouvement sur ses indications, il caressait ma tête de plus en plus passionnément… soudain il laissa échapper de petits râles de plaisir, tandis que son sexe se cabrait dans ma bouche, il maintint ma tête et je sentis des jets chauds inonder ma bouche, mon palais, couler dans ma gorge… il se vida dans ma bouche, puis poussa un râle de satisfaction… « Wouaw que c’est bon ça le matin. Bon je vais prendre mon quart. Tu peux te balader dans le bateau, sauf dans les ponts inférieurs, c’est trop dangereux. Et n’oublies pas que tu es là aussi pour distraire les marins. Ils en ont autant besoin que ...
... moi ! » Il avait repris sa voix dure, mais avant de quitter la cabine, il me caressa tendrement le visage. Puis il sortit. Je pris mes affaires, et retournais dans ma cabine… je m’assis sur le lit pensif… quelle nuit ! Juste un mauvais moment à passer ? Oui et non ! Tout cela était confus dans ma tête. Était-ce normal ? Était-ce moral ? Je ne pouvais le dire… par contre, ce que je pouvais dire c’est qu’en partie j’avais aimé cela. Oh, il y a eu un peu de douleur, c’est vrai, mais quel plaisir ensuite ! Et le fait d’avoir aimé ça me donnait une certaine honte. Comme si c’était répréhensible. D’un autre côté, un autre sentiment contrebalançait cela : pour la première fois de ma vie, j’avais été aimé, désiré… C’était une première, et je tenais à ces sentiments. Quitte à me faire passer pour une fille ? De nouveau cela était confus… j’hésitais entre morale et plaisir, honte et envie d’être aimé… finalement, je me disais timidement : pourquoi pas, le temps de la traversée ? Toutes ces pensées créaient le remue-ménage dans ma tête. Soudain, on toqua à la porte. « Une minute ! » J’étais encore nu, j’attrapais les premières choses que j’avais sous la main : la jupe noire et le débardeur de la veille, qui traînaient au pied du lit. Je les passais en vitesse. Et allais ouvrir la porte de la cabine. Un marin attendait. Il était grand, costaud, mais commençait à avoir une certaine panse. Ses cheveux gris commençaient à se dégarnir sur le sommet du crâne, et une fine barbe grise encadrait son ...