Sylvia, femme d'action (4)
Datte: 05/02/2021,
Catégories:
Hétéro
... escortée dans la pièce à côté, la chambre du Guide, où elle dut attendre que Monsieur finisse. Des « missions coucheries », comme elle les appelait, elle en avait déjà faites. C’était même devenu son fonds de commerce, à l’Agence. Mais c’était bien la première où elle avait de l’inquiétude. Elle était grimée, certes suffisamment pour que son visage diffère de la première fois où elle était venue, mais en insistant il pouvait la reconnaître. Le mieux serait de l’endormir le plus vite possible pour chercher une éventuelle preuve. Ce n’est qu’une heure après que le général fit son apparition. Il déposa son couvre-chef sur une table et se dirigea vers sa future proie. — Alors… C’est quoi ton nom ? — Maria, Monsieur. — Je ne suis pas un simple « Monsieur ». Je suis le Guide Suprême de mon peuple, ne l’oublie pas (mégalomanie nous voilà) ! Tu me dois respect et obéissance absolue. — Oui, Guide. — Te sens-tu honorée de pouvoir satisfaire ton Guide ? — Oui, Guide. — Bien… Mais dis-moi, comment ça se fait qu’une fille comme toi soit déjà siliconée ? demanda-t-il tout en massant la poitrine de Sylvia. — J’ai connu un riche Américain en vacances l’année dernière. Il se disait amoureux de moi et souhaitait m’épouser à condition que j’accepte de me faire poser ces… choses. Ma famille est pauvre, alors j’ai accepté pour les aider ; mais il m’a jetée comme un vieux mouchoir après s’être amusé avec moi durant plusieurs mois. — Je vois. Tant mieux : j’avais l’intention de vous faire toutes ...
... opérer. Au moins, toi, tu es prête. Je suppose que tu as compris pourquoi tu es là ? — Oui, Guide : je dois vous satisfaire et vous apporter du bonheur et de la félicité. — Oh, comme c’est joliment dit… Mets-toi à genoux et ouvre la bouche. Le général tomba le pantalon et son caleçon puis enfourna sa queue jusqu’à la garde dans la bouche de sa partenaire. Sylvia se sentait mal. Déjà, le laisser profiter d’elle la rendait malade, mais en plus, sentir le bout du gland lui arriver au fond de la gorge lui donnait la nausée ; elle était presque sur le point de vomir. Le général lui prit la bouche de manière bestiale, puis se retira sans jouir, la jeta sur le lit, retira ce qui lui restait de fringues et s’allongea sur elle en la pénétrant. Pendant qu’elle sentait ce gros dégueulasse lui labourer l’entrejambe, elle espérait ne pas avoir à subir la vue de son visage. Sur ce coup-là, c’était raté car il lui prit le menton et la força à l’embrasser. Elle sentait sa grosse langue râpeuse explorer les moindres recoins de sa cavité buccale ; beurk ! S’il n’y avait pas un enjeu aussi important dans cette mission, elle lui aurait mordu la langue pour la lui arracher brutalement. Seulement, elle savait que ça foutrait tout par terre. Ça faisait plusieurs minutes qu’elle se faisait limer et embrasser à pleine bouche simultanément par celui qu’elle voyait comme un ennemi. Ne pouvant regarder ce qu’elle faisait, c’est à l’aveugle qu’elle perça une de ses doses de somnifère prêtes à l’emploi. Le ...