Sylvia, femme d'action (4)
Datte: 05/02/2021,
Catégories:
Hétéro
... simple. Sylvia devait s’introduire dans le palais par l’entrée du harem que s’était constitué le dictateur. À partir de là, l’objectif était de s’attirer ses faveurs pour pouvoir s’introduire dans les appartements privés du dictateur, et ensuite soit de lui faire signer une amnistie ou des aveux, soit envoyer à ses contacts les preuves que l’exécution allait se faire ; ils les transmettraient à qui de droit, prouvant ainsi qu’il violait les consignes des instances internationales. Ensuite elle avait prévu de sortir par un des tunnels secrets d’évacuation, ayant appris de source sûre que le dictateur s’était gardé une issue de secours depuis ses appartements. Bref, pour cette mission périlleuse, rien n’avait été laissé au hasard. C’est durant le trajet qu’un maquilleur la transforma avec des prothèses de visage, lentilles de contact et coloration des cheveux. Il fallait au moins ça car il ne faut pas oublier qu’elle était déjà venue. Les prothèses qu’elle portait n’étaient pas là que pour la maquiller. Elles servaient surtout à dissimuler, entre autres, un micro-émetteur afin de pouvoir communiquer. Un de ses complices, revêtu d’un uniforme militaire local, la ramena au bâtiment où étaient logées toutes les filles en transit qui allaient devoir satisfaire le dictateur, et accessoirement ses amis. Le lendemain, elle fut embarquée dans un camion, direction le palais de l’autre ordure. La dizaine de filles furent amenées à ce qui ressemblait à un dortoir où chacune s’attribua un ...
... lit. Plus tard, un homme en uniforme arriva pour leur donner les consignes : elles étaient là pour satisfaire le « Guide » ; et s’il était content, elles seraient bien traitées. Sylvia n’avait pas l’intention de rester. Elle savait comment faire parler un homme, et ce type ne faisait pas exception à la règle. Il lui fallait juste un moment d’intimité avec lui, seule. Ayant été déshabillée avant de venir, elle n’avait pu conserver de son équipement que ses prothèses de couleur chair procurant la même sensation tactile que la peau. Sur chacun de ses doigts, elle disposait de petites doses de somnifère puissant. Ce qui voulait dire qu’elle avait une dizaine de doses sur elle, dont chacune pouvait assommer un éléphant par simple contact cutané. Ça pouvait paraître peu, mais elle était déjà parvenue à faire plus avec moins. Le soleil commençait à se coucher lorsqu’elles furent toutes convoquées dans le bureau du dictateur. Monsieur allait choisir celle qui aurait l’honneur de partager son lit pour la nuit. Compte tenu de sa réputation et de sa lubricité, elle comptait sur les implants mammaires, que l’Agence lui avait payés pour une mission antérieure et qu’elle avait gardés comme accessoire de travail, pour attirer son regard ; et ça n’a pas loupé. Dès qu’il est entré, il a tout de suite vu sa grosse poitrine, s’est dirigé vers elle, et sans même regarder les autres l’a désignée. La seule inconnue était : l’avait-il reconnue ? Pendant que les autres étaient congédiées, Sylvia fut ...