Le Téléphone sonne, tu décroches (3) - Histoires de Sexe

Le Téléphone sonne, tu décroches (3)

... ramasse sa robe et se dirige en tenue d’Ève vers la maison se faire, probablement, un brin de toilette. Je quitte mon banc et je retrouve Bruno sur la terrasse qui m’accueille avec un large sourire. — Voulez-vous un verre de vin ?— Oui merci !— Le spectacle vous a plu ?— Je sais que cela vous paraît étrange, mais oui, le spectacle m’a plu énormément et je crois que mon épouse a bien pris son pied avec vous. Vous êtes étonnant et vous étiez beaux tous les deux.— Moi aussi j’ai pris beaucoup de plaisir. Votre femme est non seulement, très jolie, mais elle dégage énormément de sensualité. Puis-je, cependant, vous demander une faveur ? Si vous ne me l’accordez pas, je ne serai pas offusqué, mais j’ai envie de vous le demander.— Demandez et j’aviserai si je peux vous répondre immédiatement ou après un temps de réflexion.— C’est très difficile, car le contexte est nouveau, peu fréquent et, pour le moins, original. Enfin, voilà, le mois prochain, je fête mon anniversaire en boîte avec quelques amis et je suis seul. J’aimerais beaucoup que votre femme me tienne compagnie pour la soirée et je vous la ramène immédiatement après, bien sûr.— Quelle boîte ?— Un club privé situé en ville qui s’appelle le « Pacha »— Je ne peux vous répondre à l’instant pour deux raisons. La première, qui me paraît essentielle, est qu’il faut le demander à la principale intéressée c’est-à-dire à Manon. Et la deuxième, je ne sais pas si cela est raisonnable pour moi, car je serai éloigné de mon épouse et ...

... cela ne me convient pas trop.— Oh ! mon chéri. J’en ai très envie si tu me le permets. Bruno et moi, nous nous retournons un peu étonné d’entendre la voix de Manon qui arrive sur la terrasse et qui a écouté la fin de notre conversation. Nous la regardons avancer vers nous. Elle s’était refait une beauté. Elle avance vers nous, avec une lenteur délibérée, robe non boutonnée, nous offrant, en cadeau, la vue de sa nudité. Nous sommes hypnotisés par son élégance, son charme et son esthétique. Elle vient se coller à moi et m’enlace tendrement. J’en profite pour parcourir son corps. Elle a la peau douce, ses bouts sont toujours bien tendus et très sensibles, car à chaque passage de ma main, elle frémit en émettant des petits gémissements de plaisirs qui s’intensifient quand entre le pouce et l’index, je joue avec son clitoris avant de pénétrer un doigt dans son vagin encore fort humide. Elle regarde fixement Bruno et ils ont, tous les deux, un sourire complice. — Mon amour, j’ai envie que tu répondes affirmativement à Bruno.— Je trouve que cette sortie entre amis n’est pas sans danger, car tu seras la seule femme parmi une bande de copains qui sont, je n’en doute pas, très bien éduqués, mais l’alcool aidant, la situation peut vite déraper.— Je t’en prie. Je prends le risque et je laisserai mon portable allumé. Dis-lui Bruno, que tout se passera bien ! Bruno, un peu embarrassé par cette séance d’attouchement, me donne sa parole d’y veiller comme à la prunelle de ses yeux et de la ...