1. Roadtrip (2)


    Datte: 27/10/2017, Catégories: Hétéro

    Jour #2Sasso Marconi, Italie - Rome, Italie 470km — Au petit matin, c’est un coq, dans un jardin voisin de l’hôtel, qui nous a réveillés. Nous n’étions pas habitués à ce genre de réveil, en ville. Je me suis levé assez vite et ai laissé Nina émerger doucement, nue sous les draps, et je suis allé dans la salle de bain. Elle m’y a rejoint cinq minutes plus tard, tandis que je me lavais les dents, s’est assise sur les toilettes et s’est mise à pisser face à moi, qui ne pouvait m’empêcher de la regarder dans le miroir. _ T’aimes bien me voir pisser, hein ? m’a-t-elle dit avec sa voix enrouée matinale et un brin de malice dans la voix. Dès lors, elle a écarté un peu plus les cuisses pour bien tout me montrer, et je me suis régalé de la vue. _ Ce que j’aime, ai-je répondu après m’être rincé la bouche, c’est ton manque total de pudeur ! _ Je n’ai plus de barrière, m’a-t-elle dit en tirant la chasse. C’est ce que tu voulais de moi, tu te rappelles ? Tu as été un bon professeur ! Après l’avoir embrassée, je suis retourné dans la chambre pour m’habiller, et me suis mis à repenser à tout ça. C’est vrai que nous revenions de loin. C’était il y a moins d’un an ! Nina, à l’époque, n’était qu’une lointaine amie, presque une simple connaissance. Et puis il y a eu son aménagement, et le début de notre relation. Tout était allé très vite. Et si aujourd’hui nous étions devenus un couple "normal", sans rapport de domination entre nous, nos activités sexuelles n’en étaient pas moins délurées. ...
    ... Bien au contraire. Un peu comme si nous étions débarrassés de ce carcan, nous n’avions plus aucune barrière. Seul notre plaisir commun importait. Et cela nous rendait plus amoureux l’un de l’autre chaque jour. A son tour, Nina est sortie de la salle de bain. Elle a enfilé la même robe que la veille, puis ses sandales et ses lunettes de soleil, et m’a dit être prête. C’est sûr que moins on met de vêtement, et plus vite on est prêt ! On s’est quand même arrêtés au buffet de l’hôtel avant de reprendre la route. Il était inclus dans le prix, alors pourquoi s’en priver. Ainsi, vers 10h, nous étions à nouveau sur la route. Nina avait repris sa position habituelle, les pieds sur le tableau de bord, à quelques centimètres de sa culotte de la veille. Quelque chose me disait qu’elle y resterait un bout de temps. Une heure et demie plus tard, nous étions déjà aux abords de Florence, et j’ai estimé qu’il était de notre devoir de nous y arrêter, ne serait-ce que pour le déjeuner. On a trouvé une place dans une petite rue, proche de l’Arno, et on s’est baladé un peu au bord du fleuve. On a pris quelques photos du Ponte Vecchio, on a déambulé un moment dans les petites rues autour de la Piazza della Signoria, avant de s’arrêter manger dans une pizzeria. Assis à une petite table donnant sur la rue, Nina regardait la vie à travers la fenêtre, et moi je regardais Nina. Elle était belle, comme à son habitude, et la savoir nue sous sa robe me titillait de plus en plus. Si la table avait été plus ...
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