1. Roadtrip (2)


    Datte: 27/10/2017, Catégories: Hétéro

    ... petite, j’aurais bien glissé mes doigts entre ses cuisses, la titiller d’un peu plus près, mais ici c’était difficilement faisable sans éveiller de soupçon. Du coup, j’ai fait en sorte qu’on ne s’attarde pas trop. Dans une petite rue, sur le retour vers la voiture, j’ai attrapé Nina par la taille, et glissé une main sur son cul. _ Que dirais-tu d’un petit dessert ? lui ai-je dis à l’oreille. _ Ce genre ? m’a-t-elle répondu en relevant sa robe au-dessus de ses fesses. Je n’ai pas pu m’en empêcher, j’ai claqué ce derrière qui me donnait tant envie. J’ai ensuite regardé autour de nous, personne. J’ai regardé une deuxième fois, cette fois pour repérer une petite impasse. J’ai attrapé Nina par la main et l’y ai attirée, la plaquant dans le renfoncement d’un porche, contre une lourde porte en bois. Nous nous sommes embrassés, furieusement, comme si le temps était compté. Nina avait toujours sa robe relevée, ce qui m’a permis de glisser une main entre ses cuisses pour enfin titiller son sexe. Ses lèvres étaient déjà humides, j’ai eu envie de mon dessert sur le champ, alors j’ai lâché sa bouche et je me suis agenouillé, comme ça, sur le trottoir. Sans attendre plus longtemps, j’ai posé ma bouche sur son sexe, et pour me permettre un meilleur accès, Nina a relevé sa jambe et l’a posée contre mon épaule. Les mains agrippées à son cul, je l’ai dévorée. J’ai ouvert son sexe avec ma langue, l’ai pénétrée, l’ai bue avec délice, et je suis remonté sucer son bouton qui s’excitait. Nina avait ...
    ... posé ses mains dans mes cheveux, et je l’entendais gémir de plus en plus fort. J’aurais bien relevé la tête pour vérifier que nous étions bien seuls, mais déjà, j’étais trop occupé pour ça, et puis la robe de Nina m’était retombée dessus. Alors j’ai continué mon affaire, et j’ai glissé deux doigts dans son vagin désormais trempé et brûlant. Je l’ai sentie se tendre de plus en plus, mais avant que j’aie pu la faire jouir, Nina m’a tiré par les cheveux pour m’écarter de son sexe, et le souffle court, m’a dit : _ Baise-moi ! S’il te plait ! Comment dire non ? Je me suis relevé et l’ai embrassée, comme je le fais à chaque fois que je remonte d’entre ses jambes, j’aime qu’elle goûte à son propre jus. Alors que nos langues s’entre-mêlaient, Nina a défait ma ceinture et sorti mon sexe de mon boxer. Je l’ai alors retournée, face à la porte, et Nina s’est cambrée pour coller son derrière à mon membre en érection. Je n’ai eu qu’à le faire glisser entre ses cuisses, et à l’enfoncer profondément dans son sexe. Incapable de se retenir, Nina a poussé un long râle de plaisir. J’ai alors posé une main contre sa bouche pour l’empêcher de gueuler trop fort, et l’autre sur son cul, et j’ai commencé à la prendre en levrette. C’était bestial, mais nous n’avions ni le temps ni le confort nécessaire pour la jouer romantique. Et puis, c’était terriblement excitant. Nous entendions des voitures passer pas très loin, et des gens parler entre eux, par les fenêtres ouvertes des immeubles aux alentours. ...