1. Au couvent


    Datte: 06/02/2021, Catégories: ff, fff, jeunes, religion, grosseins, fsoumise, fdomine, soubrette, contrainte, Masturbation Oral fgode, fdanus, attache, fouetfesse, historique, historiqu,

    Assise devant sa commode, face à son miroir, Madame de Valençon est perplexe. Non qu’elle s’inquiétât pour sa fille. Si elle l’a fait venir à Paris, c’est justement pour lui faire découvrir le monde… et ses dessous. Elle n’est donc point troublée par le fait que sa fille fasse des rencontres au cours desquelles elle pourrait découvrir toutes les facettes de l’art d’aimer. Mais elle se demande simplement jusqu’où le Cardinal et son assistante en matière de vice ont été avec sa fille. En les découvrant tout à l’heure ensemble dans le salon, elle s’est immédiatement rendue compte que leur présence n’était pas due au seul hasard : le Cardinal et Soeur Amélie savaient très bien qu’elle passait elle-même l’après-midi chez son amie, Madame de Marans, et qu’elle ne serait donc pas chez elle. Elle est pratiquement certaine que le Cardinal s’est organisé pour se présenter à un moment où il serait accueilli par une Caroline laissée seule. Elle a perçu, à l’air faussement dégagé du Cardinal et au léger rouge qui marquait encore les joues de la nonne, qu’il s’était passé quelque chose. Elle connaît trop bien les deux religieux pour savoir qu’ils ne peuvent résister à l’envie de séduire une jeune fille peu farouche. Elle commence également à soupçonner que sa fille n’est plus une jeune adolescente innocente, et qu’elle suit en matière de plaisirs les voies tracées par ses parents : le récit détaillé que Madame de Marans lui a fait de leur partie à trois avec la soubrette lui a fait ...
    ... comprendre que Caroline est déjà bien au fait des choses de l’amour. Madame de Marans, qui a pourtant déjà tout vu et tout expérimenté, gardait d’ailleurs un tel souvenir de cette après-midi de découverte qu’elle commençait à se demander si sa fille devait encore apprendre quelque chose en matière de sexe. Tout en réfléchissant, Madame de Valençon continue à ôter sa robe, puis ses dessous. Elle est bientôt nue, revêtue de ses seuls bijoux : un collier de perles met en valeur son cou gracieux et ruisselle entre ses seins orgueilleux, des bracelets tintinnabulent à ses poignets. Elle se regarde dans la glace pour guetter sur son corps les marques du temps. L’arrivée de sa fille auprès d’elle à Paris la rend attentive plus qu’avant à sa propre apparence. Heureusement, l’éclat de son regard, la finesse de ses traits, l’élégance sculpturale de sa silhouette et l’expérience de la séduction se sont affirmés au fil des ans, compensant peu à peu l’insolente beauté un peu brutale qui était la sienne dans sa jeunesse. Elle observe sa poitrine : toujours aussi volumineux, ses gros seins sont un peu moins arrogants aujourd’hui, mais ils restent très excitants, bien galbés, et couronnés de tétons toujours dressés. Son ventre est resté plat, malgré les grossesses. Sa croupe s’est arrondie, mais est restée ferme, ses cuisses ont pris du galbe, mais sans excès. Elle se trouve toujours aussi belle, mais d’une beauté plus épanouie, plus tranquille. Et voir ses amants et ses amantes la désirer avec ...
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