Au couvent
Datte: 06/02/2021,
Catégories:
ff,
fff,
jeunes,
religion,
grosseins,
fsoumise,
fdomine,
soubrette,
contrainte,
Masturbation
Oral
fgode,
fdanus,
attache,
fouetfesse,
historique,
historiqu,
... toujours plus d’ardeur la rassure : son pouvoir de séduction est resté intact. Ses désirs aussi sont restés exacerbés. Comme chaque fois qu’elle est nue devant la glace, elle commence à se caresser le corps : d’abord, elle caresse ses seins, qu’il lui suffit d’effleurer pour en exciter les bouts. Elle les prend en main, les soupèse, les presse tout doucement. Elle titille les tétons, les fait se dresser, les fait rouler entre ses doigts. En soulevant ses seins et en inclinant la tête, elle arrive à les lécher et même à les sucer. Elle se laisse aller en arrière sur son fauteuil, écarte les cuisses et observe son sexe dans la glace. Elle a imité Madame de Marans, et s’est fait épiler le pubis. Ses grosses lèvres charnues sont lisses et gonflées. Son doigt s’immisce sans peine dans la fente qui commence déjà à s’humidifier. Son clitoris ne tarde pas à gonfler de désir et à se dresser. Elle aime le presser sans ménagement, tout en s’introduisant deux doigts dans le sexe. Bien installée dans son fauteuil, elle commence à se branler en pensant à la soirée qui l’attend. C’est à cet instant précis qu’on frappe à sa porte. Elle en est d’abord dépitée : elle déteste être interrompue quand elle se donne du plaisir. Elle se couvre d’une robe de chambre, et fait entrer. C’est la fidèle Elodie, qui vient voir si elle n’a besoin de rien. Madame de Valençon laisse retomber sa robe de chambre, et observe avec plaisir que son corps nu inspire du désir à la jeune servante. Cette Elodie est ...
... vraiment très vicieuse. Elle n’ignore rien de la relation saphique qui la lie à Caroline. Mais aucune des jeunes filles ne peut se satisfaire d’une relation exclusive, tant leurs envies de découvrir le sexe sont impérieuses. — Viens Elodie ! Comme tu peux le voir, je m’étais déjà dévêtue sans t’attendre. Mais tu pourrais m’aider à ôter mon collier. Madame de Valençon se lève. La jeune soubrette contemple sa maîtresse nue, et comme chaque fois elle est séduite. Comme chaque fois qu’elle doit approcher ce corps sculptural, elle éprouve un intense désir de le toucher, de le caresser. Elle prend donc plaisir à dégrafer le collier, à le faire glisser sur son cou et ses épaules, et à le laisser effleurer ses seins. Les perles s’accrochent aux tétons dardés. Madame de Valençon lance ses bras en arrière, se saisit de ses fesses et la plaque derrière elle. Elodie lui taquine le bout des seins avec les perles. Elle s’excite de les voir se gonfler et se dresser avec arrogance. Sa maîtresse s’empare de ses mains, et les presse sur ses seins pour l’inviter à les lui masser. Elodie trouve toujours beaucoup de plaisir à les pétrir avec un peu de vigueur. Elle les fait rouler, les soulève, les presse l’un contre l’autre sans ménagement, ce qui arrache à Madame de Valençon d’intenses soupirs de plaisir. Celle-ci glisse sa main droite sous ses jupes, et cherche son entrejambe. Elle commence alors à lui fouiller le sexe, tout en se caressant elle-même le bouton de la main gauche. Évidemment, elle ...