1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°926)


    Datte: 07/02/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... commençais à le pomper vigoureusement. Tellement en manque d’orgasme, il ne tarda pas à gémir et très vite se vida à longs jets épais au fond de ma gorge bruyamment. A ces cris de jouissance répondirent des coups de cravache. - Tu vois, la chienne, tu n'es pas la seule à qui on exige le silence en toute occasion, sauf contre ordre ! Écoutez tous. Vous n'avez pas le droit de sortir le moindre son, sinon vous serez puni ! Cette chienne en sait quelque chose, elle a subi quelques séances de dressage avant d'y arriver totalement, quoiqu'il arrive ! Monsieur le Marquis veut que vous ayez les couilles vidangées pour ce soir, mais il ne voudra en aucun cas vous entendre si vous n’y êtes pas autorisés, alors autant commencer tout de suite à vous taire, à ne pas brailler en giclant votre foutre de chien… Et là-dessus, sans que je le vois car il se trouvait dans mon dos, il décrocha un fouet de dressage pour les chevaux. Pendant qu'il parlait, attendant qu'il m'ordonne de continuer, je mettais mise en position standard, prosternée, la tête plaquée au sol sur cette dalle de béton froide. Je ne vis donc pas le regard un peu effrayé des quatre chiens lorsque Walter arma son bras, et m'appliqua une dizaine de coups de fouets sur le dos et les fesses, provoquant chez moi un léger tressaillement, mais pas le moindre son. Il me faut avouer que les coups étaient légers. En effet, le Majordome avait reçu l'ordre de ne pas me marquer avant la cérémonie sauf en cas de grave manquement, évidemment ...
    ... ! - Vous voyez, si Vous avez la chance d'entrer un jour au Chenil, puis plus tard si Vous êtes assez méritant, dans un Cachot, Vous serez capable de subir sans un geste et sans un bruit. Bien, maintenant la chienne, continue ! Ils sont tous aussi méritants les uns que les autres et méritent tous d'être récompensés de manière égale à gicler leur foutre. Je passais donc à genoux devant chien servile, puis chienchien et enfin Vieux chien et les vidais entièrement. Ce fut rapide, tous ayant passait un certain temps sans avoir la possibilité de se vider les couilles ! J’avalais tout sans rien laisser. Parfois quelques gouttes de sperme tombait sur le sol alors je me mettais en levrette pour lécher à même la dalle le foutre de ces chiens. Et tous reçurent des coups de cravache, ne sachant pas encore se contenir à n’émettre le moindre son. À chaque fois j'attendais en position standard, me remémorant les séances douloureuses mais excitantes de dressage avec Walter. Je pensais également au chemin que j'avais parcouru, chienne anonyme le temps que j'avais vécu loin de la France, puis mon entrée au Chenil et le grand honneur, et l'immense joie, d'avoir droit de porter les Initiales du Maître Vénéré, et ce soir l'entrée dans un Cachot, récompense suprême. Je me rappelais toutes les étapes à franchir, toutes les barrières à faire tomber, tant bien que mal... Le chemin n'avait pas été sans embuches, mais le bonheur ressenti chaque fois que Monsieur le Marquis me montrait Sa fierté valait ...