1. Sissy à bord (4)


    Datte: 08/02/2021, Catégories: Transexuels

    ... autre joueur. Les deux autres marins m’aidèrent à me relever. Il fallait que j’aille me reposer là ! Je remis de l’ordre dans ma tenue, les remerciait, puis sortit dans le couloir. Je m’accrochais à la sorte de rampe, le roulis était plus fort que d’habitude, j’avais les jambes tremblantes, et mal au derrière ! Il n’y avait pas été de main morte, le Second, et quel membre il avait ! J’aurais de la chance si je pouvais m’asseoir sans mal demain ! Je descendis péniblement l’escalier, mais soudain sentis une présence derrière moi… Je n’eus pas le temps de me retourner… un filet m’entoura, et des mains me poussèrent sans ménagement vers le pont… Ils étaient deux, et je reconnus sans mal Ron. — Mais… lâchez-moi ! Qu’est-ce que vous faites… mais… Nous étions sur le pont. Le soir était tombé, et de gros nuages gris foncés-mauves roulaient sur le ciel… soudain, un éclair stria le ciel, suivit d’un redoutable grondement de tonnerre… Le roulis était vraiment très fort, et de grosses vagues s’abattaient sur le pont du bateau, le temps était mauvais, les vagues sur l’océan énorme ! Un frisson me parcouru l’échine… c’est vers le bord que nous allions… ils voulaient me jeter par-dessus bord ! — Mais vous êtes fou ? Qu’est-ce que… qu’est-ce que vous allez faire ??? — Je vais sauver ce bateau petit. Désolé, mais ta place n’est pas ici ! Tu vas nous apporter le malheur ! — Non ! Au secours ! AU SECOUUUUUUUUURS ! Je criais de toute ma voix, tandis que nous nous approchions du bord. Un ...
    ... nouvel éclair stria le ciel, suivi d’un coup de tonnerre. Je voyais avec effroi les vagues immenses, impossible de nager là-dedans, tomber à l’eau c’était la mort assurée ! Je tentais de me débattre, j’appelais de toutes mes forces… — Ron ne fait pas ça ! Le Second apparut dans l’encadrement de la porte. Ron et l’autre marin me tenaient par les jambes et les épaules, j’étais contre la rambarde, un simple mouvement de bras de leur part, et j’étais à l’eau ! Le Second semblait très menaçant. — Ecoute Bob, t’es le Second, tu dois comprendre ! Aucun marin ne peut accepter… Un coup de feu fit taire le marin. Nous nous tournâmes tous vers le pont supérieur, où se tenait le Capitaine. Un pistolet à la main. — Ron, écoute Bob et lâche le petit. Tu es le seul à t’en plaindre, et ce que tu fais, c’est de la mutinerie. Je ne permettrai jamais à aucun marin sous mes ordres de se mutiner… Au mot mutinerie, le mari qui me tenait par les jambes me laissa tomber… et recula de quelques pas, se désolidarisant tout de suite de Ron, qui me tenait toujours par les épaules… — Mais enfin, vous ne comprenez rien ! Soudain un éclair plus grand que les précédents déchira le ciel, et frappa le bateau. Au lieu du tonnerre on entendit un sinistre craquement, et un de ces gros câbles métalliques qui partait du pont supérieur et allait vers le bout du bateau, fut sectionné… il arriva droit sur nous ! De surprise Ron me lâcha, et je tombais sur mes genoux, mes jambes ne me portant plus. Je sentis le câble me ...
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