Sissy à bord (4)
Datte: 08/02/2021,
Catégories:
Transexuels
... frôler, suivi d’un cri, d’un drôle de bruit, puis plus rien… je me retournais, Ron avait disparu. Il y avait beaucoup de sang, sur la rambarde, sur le sol, et sur le câble, qui traînait au sol… Vu la violence du choc, les restes du corps de Ron avait dû être projetés à la mer… Le marin, Bob, et moi nous retournâmes vers le Capitaine. Pour toute épitaphe, il eut ces mots : — Le malheur frappe toujours celui qui l’appelle sans cesse… Bob, consigne la mort de Ron dans le journal des incidents. Dès que nous aurons touché terre, fait envoyer ses effets personnels à sa famille. Il faut aussi prévenir… Je n’entendis pas le reste, tombant évanouis… Je m’éveillais dans le lit du Capitaine. Il faisait sombre, le jour se levait doucement. Je l’aperçus alors, il était là, endormi, assis sur une chaise à quelque pas du lit. Il avait veillé sur moi. Il avait pris son arme pour me sauver, puis il avait veillé sur moi ! Cette pensée emplit mes yeux de larmes. Je me sentais vraiment aimé, et cela me toucha profondément, m’emplissant de chaleur… les papillons revinrent voltiger dans mon bas ventre… Je sortis silencieusement du lit, et m’agenouillais entre ses jambes. Très doucement, j’ouvris sa braguette, et sorti son membre, tout endormi… il ne lui fallut que quelques coups de langue pour qu’il prenne un peu de vigueur, et une mise en bouche pour le faire bander tout à fait… sa raideur amplement acquise, je me relevais, et l’enjambais, plaçant son gland gonflé de désir contre mon anus… puis ...
... m’assis lentement sur les genoux du Capitaine, m’empalant sur son membre raide, le sentant me pénétrer lentement… Mon dos reposait contre le torse puissant du Capitaine, je blottis ma tête dans son cou, et attendit… je sentis son pieu fiché en moi, mais ne bougeais pas, sentant toute les sensations de son membre veiné de chaire en moi, qui tressautait doucement… je sentis l’odeur de l’after-shave du Capitaine, la peau de ses joues avec sa barbe de deux jours, piquante et virile, blotti contre lui, j’embrassais doucement son cou, son menton, levant la tête pour atteindre doucement ses lèvres… était-il encore endormi ou faisait-il semblant ? M’aidant des accoudoirs de la chaise, je me fis coulisser, serrant mes muscles anaux autour de son membre, et je me fis monter et descendre, le branlant avec mon cul… avec mon intérieur, avec tout ce que j’avais… je me faisais coulisser le long de son membre dur et ça faisait un bien fou ! A lui aussi, même s’il faisait semblant de dormir, je sentais sa respiration et son cœur accélérer… je continuais, contractant au maximum mes muscles, sentant son sexe encore grossir et durcir en moi, il ne tiendrait pas longtemps ! Lorsque je le sentis battre en moi, je lâchais tout, le faisant s’enfoncer au plus profond de moi, me tassant sur lui… c’était si profond, avec son membre au maximum de sa raideur et de sa grosseur que j’en jouis instantanément, et lui aussi ! Je sentis sa crème chaude me remplir les entrailles, et l’embrassais encore, comme un ...