Sissy à bord (4)
Datte: 08/02/2021,
Catégories:
Transexuels
... fou. Il rendit mon baiser passionnément, puis il referma doucement ses bras sur moi, et nous restâmes comme cela, immobiles, moi blotti dans ses bras, son membre débandant doucement dans la chaleur de mon rectum, puis ressortant par mon petit trou huilé de son sperme… Après un moment, je pus lui parler… — Je… je suis désolé pour Ron… je ne voulais pas que ça lui arrive… c’était… c’était horrible ! — Ce n’est pas de ta faute pour Ron. Il s’est mis lui-même dans les ennuis. Il était tellement buté, et superstitieux. Je hochais la tête, sans rien dire. — Tu sais, il devenait de plus en plus grincheux, et réticent à obéir. Il devenait un problème, et j’avais déjà écrit à la compagnie pour demander sa retraite anticipée. C’est vraiment con qu’il ait fait une pareille connerie… tu te rends compte s’il avait réussi à te jeter par-dessus bord ? Je crois que je l’aurais… Sa main caressa doucement mon visage… mon ventre… mes cuisses… puis il se leva, me prenant comme si je ne pesais rien, et me déposant sur le lit, ventre contre le matelas, fesses vers lui… il m’enjamba et frotta doucement son sexe entre mes fesses, caressant mes fesses, les malaxant, les rapprochant pour faire glisser plus aisément son membre, jusqu’à ce qu’il reprenne vigueur… puis il écarta mes fesses, et à nouveau m’enfila, faisant aisément pénétrer son membre raide dans mon petit trou encore mouillé de son sperme… il n’avait plus une érection aussi forte que la première, mais il était assez raide pour toucher à ...
... chaque coups de boutoir ce point sensible en moi, qui déchargeait des éclairs de plaisir dans tous mon corps, qui me faisait vibrer, qui m’envoyait au septième ciel… ses mains me tenant virilement par la taille, il s’enfonçait en moi, me faisant l’amour avec passion, ma tête dans son oreiller pour couvrir mes cris de plaisirs… j’étais à nouveau dans cet état d’orgasme permanent, mon sexe laissant couler sans arrêt un sperme très liquide, un feu d’artifice dans la tête… je ne le sentis même pas jouir, tellement j’étais dans les vapes de plaisirs… Je me rendormis comme ça, tandis qu’il était toujours en moi. Lorsque je m’éveillais, il faisait clair, ça devait être le milieu du jour, et il n’était plus dans la cabine. Le voyage continua à travers l’Atlantique, les jours se succédant les uns aux autres, comme les sexes que je suçais ou qui venais dans mes fesses... plus le temps passais, plus je sombrais dans cette frénésie sexuelle… je ne savais plus dire non, dès que je voyais une verge dressée, dès qu’on me caressait virilement, je fondais, les papillons se formaient dans mon bas ventre, et j’avais envie de sexe, j’avais envie de jouir… en plus j’avais appris à aimer le goût du sperme, à un point tel que rien que l’odeur me faisait bander… avec le temps et les hormones, je voyais également des changements, très lents, mais mon visage s’affinait, mes fesses et mes hanches s’arrondissaient, et mes seins gonflaient un tout petit peu, mes tétons devenant plus sensibles qu’avant… ces ...