Des vacances inoubliables dans un petit coin de paradis - Histoires de Sexe

Des vacances inoubliables dans un petit coin de paradis

... gonflées, et surtout se terminant par un énorme gland. Je vous sens totalement troublée hypnotisée. Vous retournant vers moi, je lis dans votre regard un grand trouble. Un mélange de peur, d’excitation, et surtout d’assentiment. Je devine à la lecture de vos yeux une demande de bénédiction. — Ma douce, je souhaite que ces vacances soient mémorables. Faites-vous plaisir : vous êtes là pour jouir de tous les plaisirs de la vie. Lâchez-vous. Je fais signe à ce bellâtre de s’approcher. Sans hésiter, celui-ci se rapproche de nous et se retrouve planté juste devant vous. Vous ne savez que faire, partagée entre la peur et une immense excitation. — Ma douce, sucez-le. Vous vous agenouillez, hésitante, presque maladroite ; vous prenez avec vos deux mains cette énorme queue. Vous la soupesez, la jaugez et la caressez sur toute sa longueur. Elle vous semble incroyablement douce, et son odeur vous enivre. Délicatement, je vous vois la goûter du bout des lèvres et commencer à la lécher à la base en remontant sur toute la longueur. Je vous vois la savourer comme une sucrerie. Je vous sens très excitée. Maintenant vous la lapez, donnant plein de petits coups de langue. Je l’entends gémir sous l’effet du traitement que vous lui infligez, et cette colonne de chair se raidit, se dresse et commence à prendre des proportions hors du commun. Lors de vos caresses buccales, réservant le meilleur pour la fin, je vous vois dévorer cet énorme gland de vos yeux. On dirait un gros abricot. Ouvrant ...

... votre bouche au maximum, vous l’avalez littéralement et commencez à le sucer frénétiquement. Vous ne pouvez d’ailleurs pas prendre plus dans votre bouche que ce gros fruit. Vous le sucez avec tant de gourmandise, vos deux mains le masturbant en même temps… Je vous invite dès lors à vous allonger et lui commande de s’agenouiller devant votre bouche. Sans vous faire prier, vous recommencez à déguster ce beau fruit. Je vous écarte largement les jambes, m’allonge dans le sable chaud pour pouvoir déguster votre rose en même temps. Oui, je veux vous préparer pour accueillir cette énorme verge. Sans grande surprise, vos pétales sont grands ouverts. Je me délecte de votre nectar qui coule abondamment. Je vous ouvre tant que je peux avec ma langue, vous léchant goulûment, écartant autant que je le peux vos pétales. Votre antre soyeux est grand ouvert. J’invite désormais notre partenaire à vous posséder, et je devine à travers vos gémissements que vous en rêvez d’envie. Je l’invite à s’allonger et il s’exécute. Sans que je vous demande quoi que ce soit, tout naturellement vous venez vous positionner au-dessus de lui pour vous empaler et contrôler cette pénétration. Son pieu est à la verticale et turgescent. Moi, je me mets debout face à vous, vous présentant ma queue qui est gorgée de désir. Ni une ni deux, vous m’avalez littéralement. Imprimant des mouvements de succion bruyants. Vous vous asseyez sur ce gland proéminent. Vous sentez vos chairs s’ouvrir tout doucement. Vous vous attardez ...