Un après-midi de plaisir - Histoires de Sexe

Un après-midi de plaisir

... surpris Florence tandis que celle-ci se masturbait nue dans le jardin. La jeune fille, âgée d’à peine 19 ans, était ensuite allée voir le voisin, le suppliant de ne rien dire à ses parents. Il avait accepté à une seule condition : pouvoir profiter d’elle de temps en temps. Elle avait accepté, et ils étaient passés de suite à la pratique. L’homme avait baissé son pantalon et son slip et sorti une queue de belle tenue. Florence avait senti son entrejambes se mouiller. Elle n’était plus sûre qu’il s’agisse de chantage… Florence s’était retrouvée à genoux à sucer la queue du voisin. Elle avait apprécié la dureté et les dimensions de l’engin. Finalement, elle jugea que ce n’était pas du chantage mais une opportunité intéressante. Elle s’était ensuite relevée, retournée, avait ôté son short et offert ses fesses à l’homme. Il l’avait pénétrée rapidement, lui arrachant des gémissements de plaisir. Il était allé et venu ensuite en elle. Pas comme les excités jeunes qu’elle voyait de temps en temps, mais en homme mûr et sûr de son fait qui prenait son temps. Il s’était retiré précipitamment au moment d’éjaculer pour jouir sur ses fesses. À compter de ce jour, elle s’était offerte de temps en temps à lui. Régulièrement, environ deux fois par semaine, tant qu’elle habitait chez ses parents. Puis de façon plus espacée après. Il se faisait rarement sucer, préférant la prendre par le sexe ou par les fesses. Il jouissait à chaque fois en elle. Quand elle s’était mariée, elle l’avait ...

... moins vu. Mais à l’occasion d’un week-end chez ses parents, il lui arrivait de s’échapper et de le retrouver chez lui. Pendant ses deux grossesses, alors que le mari de Florence ne la touchait presque plus, lui l’honorait par-derrière, tantôt dans sa chatte tantôt dans son anus. Les seins déjà lourds de Florence étaient encore plus volumineux et cela décuplait son désir, il le lui avait dit, et le lui avait montré. Il la défonçait violemment pour voir sa lourde poitrine bouger au rythme de ses mouvements. C’est même Florence à un moment donné, quand elle était vraiment en manque de sexe, qui venait le provoquer en s’exhibant devant lui pour qu’il la fasse jouir. Elle profitait d’être seule chez ses parents pour sortir vêtue uniquement d’une nuisette courte et transparente. Elle le repérait dans le jardin et sortait dans cette tenue, n’hésitant pas à se pencher en avant, dos à sa haie, pour lui montrer ses fesses nues. Cela ne ratait jamais : en quelques instants le voisin venait, la déshabillait, faisant glisser sa nuisette. Une fois nue, il la prenait, dans le jardin. Il la faisait jouir longuement et remplissait de son foutre tantôt sa chatte, tantôt ses fesses, avant de retourner comme si de rien n’était à ses occupations. Il y avait une complicité sexuelle tacite entre eux. L’homme se dégagea vite et fit mettre Florence à quatre pattes à même le sol. Il lubrifia son sexe puis le sillon fessier de Florence avec sa salive en lui disant : — Tu aimes par là ! Je vais le faire ...