Un après-midi de plaisir - Histoires de Sexe

Un après-midi de plaisir

... par-derrière. Et il s’enfonça en elle, l’enculant d’un seul coup de queue. Son sexe disparaissait centimètre par centimètre dans le postérieur de la jeune femme. Florence adorait se faire sodomiser, par son mari et par d’autres. Son petit cul était toujours prêt à s’ouvrir pour une belle bite ! Les hommes voyaient d’abord son énorme poitrine ; mais ensuite, une fois qu’ils avaient goûté à son anus et vu le plaisir qu’elle y prenait, ils y retournaient souvent ! Elle aimait tellement se faire prendre par les fesses qu’elle pouvait se faire sodomiser sans préparatifs particuliers, simplement sur son excitation. Comme disaient certains de ses amants, Florence pouvait se faire enculer à sec ! Une fois à fond en elle, le voisin se mit à aller et venir, d’abord doucement, puis de plus en plus vite. Il soufflait fort mais, en dépit de son âge, il ne faiblissait pas. Planté dans ses fesses il l’enculait en rythme, et Florence appréciait en connaisseuse. Cinq minutes plus tard, il lâchait son sperme au fond de l’anus de Florence, l’ayant fait jouir juste avant. Alors qu’il se rhabillait tout en discutant avec Florence, la sonnette de l’entrée retentit. L’homme quitta le jardin précipitamment et retourna chez lui tandis que Florence se dirigeait vers le devant de la maison, ayant juste mis autour d’elle une serviette de bain. Le voyeur descendit de son arbre et passa de l’autre côté pour voir ce qui se passait devant. Florence était à genoux devant la porte d’entrée. Nue, cachée par ...

... le portail et les hautes haies du devant, elle suçait consciencieusement la queue raide d’un inconnu. C’était un livreur qui cherchait une adresse. La femme qui lui avait ouvert portait juste une serviette de bain qui arrivait juste sous les fesses. Elle la tenait fermée sur le devant, comprimant une poitrine que l’homme devinait généreuse. Et il y avait dans le regard de la femme un goût de luxure. L’homme avait bandé de suite, son pantalon de toile se tendant d’autant plus vite et fort qu’il ne portait jamais de caleçon. Florence avait vu la bosse, énorme, et en avait lâché la serviette. Elle s’était retrouvée nue devant le jeune homme, les seins durs et volumineux, ce qui avait eu pour effet de tendre encore davantage le pantalon de l’inconnu. La tige cachée dessous avait l’air hors norme. Cela excita à nouveau Florence. Dans un état second, elle s’était alors agenouillée, avait débraguetté le livreur et fait jaillir son énorme queue. Et elle l’avait prise en bouche. Elle essayait de gober l’engin de plus de 20 cm tendu devant elle. L’inconnu se laissa sucer puis, rapidement, il se dégagea et fit mettre Florence sur le dos, sur le gazon. Écartant ses cuisses en s’agenouillant entre elles, il la pénétra d’un coup, la remplissant complètement. Lorsqu’il se mit à aller et venir en elle, Florence gémit de contentement. L’étalon la défonça sans ménagement pendant près de dix minutes. Il regardait la poitrine de Florence bouger au rythme de ses ruades en elle. Ses seins étaient ...