1. Une généreuse maman (4)


    Datte: 09/02/2021, Catégories: Inceste / Tabou

    ... culotte est devenue une véritable obsession pour moi, et le seul litige entre nous. Car maman refusait, malgré mon insistance, de l’enlever ; elle faisait comme si les élastiques de sa culotte délimitaient la frontière d’un territoire sacré dont l’accès me serait interdit à jamais. Je pouvais faire de son corps ce que je voulais, mais pas touche à son sexe ! J’en éprouvais une frustration à la mesure de mon attente. Je savais qu’elle était embarrassée par nos agissements, qu’elle payait de sa personne ; je n’étais pas aveugle. Je me doutais qu’elle n’agissait que dans mon intérêt, qu’elle ne cherchait que mon plaisir sans en retirer une vraie satisfaction personnelle. Il suffisait de voir comment elle me regardait quand je jouissais, vautré sur son corps : il y avait tellement d’amour maternel dans son regard, malgré la situation, qu’elle me gâchait presque le plaisir. J’étais jeune et égoïste, je ne réfléchissais plus avec ma tête mais avec ma queue. Mes hormones avaient pris le contrôle. J’avais oublié qu’avant d’être la femme que je rêvais de baiser, elle était avant tout ma maman ! Un matin, elle n’est plus venue dans ma chambre, et j’ai compris qu’elle avait besoin que je la laisse souffler. J’ai patiemment attendu qu’une nouvelle occasion se présente. Je ne voulais surtout pas la brusquer… Mon père est parti un vendredi soir. Il s’est absenté pour le week-end, afin de disputer un tournoi de golf dont il était coutumier. Nous étions seuls à la maison, maman et moi. Le ...
    ... timing était parfait, c’était le moment ou jamais de lui remettre la pression… Le samedi matin - j’avais réglé le réveil à 6h, pour être sûr qu’elle dormirait encore - je suis sorti de mon lit encore engourdi de sommeil et je suis allé prendre une douche. Je me suis dirigé vers sa chambre, tout nu, en me disant que c’était à mon tour d’aller la réveiller, pour changer. Les stores étaient entrouverts, le soleil qui se levait diffusait une douce clarté dorée sur les murs. Elle dormait. Je n’ai pas réfléchi ; je suis rentré dans son lit et je l’ai enlacée. Elle s’est réveillée en sursaut, a cligné des yeux, comme si elle ne comprenait pas ce qui lui arrivait. Elle semblait confuse, mais elle m’a souri quand elle m’a reconnu. Elle m’a rendu mon étreinte en poussant un long gémissement de soulagement. Elle n’avait pas sa maudite culotte, elle était toute nue elle aussi ; j’ai senti ses poils qui crissaient sous les miens. J’ai attrapé ses fesses à pleines mains, les ai faites rouler entre mes doigts. Je me suis frotté ; je pouvais sentir le renflement prononcé des lèvres de sa chatte sous la toison pubienne. Mes mains étaient pleines de son cul. Elle a réalisé qu’elle était nue et offerte, a paniqué, a cherché à m’échapper, mais j’ai cherché l’entrée de son vagin en guidant ma queue d’une main. Elle a lutté avec l’énergie du désespoir, m’a supplié d’arrêter, et puis elle s’est peu à peu résignée. J’étais aux anges. Le moment que j’attendais tant était sur le point de se réaliser : ...