1. Une généreuse maman (4)


    Datte: 09/02/2021, Catégories: Inceste / Tabou

    ... ventre. Elle me tenait la queue avec ses doigts refermés autour, ne laissait dépasser que le gland. Elle l’a pris entre ses lèvres, a commencé à le téter en aspirant, en creusant les joues, et elle a fait tourner sa langue chaude et mouillée tout autour. J’avais l’impression que mon cœur allait exploser. — Oh oui, maman… comme ça … non plus bas… oui, c’est ça… Je l’encourageais, lui donnais des conseils. — Tu n’as pas honte Victor ? Tu veux bien te taire ! J’ai compris qu’elle était gênée que je participe, que mon implication rendait ce qu’elle me faisait encore plus réel pour elle, alors je l’ai fermé et j’ai pensé au jour où j’aurais la chance de pouvoir lui bouffer la chatte à mon tour, et j’ai réalisé que ce jour là mon bonheur serait parfait. Elle m’a repris dans sa bouche, en concentrant toute son attention sur mon gland. Elle s’occupait si bien de moi que je n’ai pas mis longtemps à lâcher, dans un cri, plusieurs jets de foutre au fond de sa gorge. Elle m’a gardé entre ses lèvres, a pressé mes couilles comme si elle voulait en extraire tout le jus qu’il restait. Elle a léché le sommet du gland pour recueillir les dernières gouttes qui perlaient sur le méat. Tout de suite après, elle a bondi hors du lit pour aller recracher mon sperme dans le lavabo de sa salle de bain. Comme elle était à poil, j’en ai profité pour contempler son cul admirable, ses fesses pleines et cambrées qui dansaient à chaque pas. De nombreuses femmes qui approchent de la quarantaine ont le ...
    ... corps qui a tendance à s’affaisser naturellement. Elles sont par conséquent bien plus à leur avantage quand elles sont habillées. Mais maman échappait à cette malédiction ; elle était encore plus pulpeuse et appétissante toute nue. Si les hommes qui se retournaient dans la rue sur son passage avaient pu la voir à cet instant, être à ma place… Je me rendais compte de la chance que j’avais. Elle a enfilé son peignoir blanc avant de revenir s’asseoir sur le bord du lit. Elle a croisé et décroisé les jambes, s’est tordu les mains, a joué avec ses cheveux ; elle donnait l’impression de vouloir me dire quelque chose mais sans oser le faire. Elle était adorable avec son air coupable. — Je suis une mère indigne Victor, une horrible personne ! Si tu savais comme j’ai honte de ce qui vient de se passer… — Arrête de dire des bêtises, c’était vraiment super… et tu es la plus gentille maman du monde ! — Mais tu ne te rends pas compte ? Tu es mon fils voyons ! Je me sens si sale… — Tu ne devrais pas… Au contraire, tu devrais être fière ! Peu de mères sont aussi attentives et à l’écoute que toi… Ce que tu as fait, c’est le plus beau des sacrifices… — Oh mon poussin, tu es gentil de vouloir me rassurer… Qu’est-ce que tu as muri ! — Ecoute maman, ne t’en fais pas pour moi, je vais très bien… je ne suis pas traumatisé, bien au contraire… Et ne te prends pas la tête non plus… — Oh Victor… Je ne t’ai pas vu grandir… mais tu resteras toujours mon bébé tu sais… c’est pour ça que je me sens si ...