1. En panne 2


    Datte: 10/02/2021, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... sera terrible ! Et la certitude de l’inexistence de la société de transport après de multiples vérifications a conforté mes doutes. Je crains le pire, je l’attends en tremblant, sans bruit après avoir préparé du matériel de combat. Le temps est long dans cette cave. Pour me consoler je repense à la promesse de Monique, ce matin: - Tu sais, mon chéri, si jeudi je ne suis pas entièrement guérie, tu pourras me prendre par derrière. Elle avait prononcé cette phrase en rougissant. Je devrai l’enculer ? La pratique n’est pas courante chez nous. Mais contre mauvaise vulve, Monique ferait beau cul. C’était pour elle une contrainte proche d’un sacrifice et le fait de l’énoncer lui en a coûté. Son vocabulaire évolue. Et pas seulement son vocabulaire. Je repense à notre « première anale ». J’avais dû parlementer, argumenter avant de lui prouver par les faits que les fesses et le petit trou généraient un vrai plaisir. L’avais-je convaincue ? J’avais en premier poussé un index qui, enrobé de beurre avait franchi timidement le sphincter anal d’une femme rouge de honte, disait-elle. Dès le premier toucher elle avait sursauté, gémi. Mais finalement, l’épreuve vécue par la femme confuse, elle avait tortillé du cul avant de reconnaître avoir pris un certain plaisir plutôt qu’un plaisir certain. C’était tout en nuances. Et après d’innombrables objections elle avait consenti à recevoir par cette voie la visite de mon sexe. On lui avait si bien expliqué dans sa jeunesse que c’était un acte ...
    ... contre nature, que la pénétration anale lui faisait horreur. Toutefois l’expérience ne l’avait ni rebutée à l’extrême ni ravie. N’était-il pas étonnant de sentir entrer « par là » un sexe bien plus épais qu’un doigt. Cela ne faisait pas vraiment mal. Je n’étais pas un adepte inconditionnel de la pratique de la sodomie, je préférais la pénétration vaginale, nous n’avions donc que très peu goûté aux sensations vantées de la sodomie secondée par l’activation digitale du clitoris pour assurer la jouissance. Voilà pourquoi j’ai été très surpris d’entendre ma femme me proposer son cul si son sexe n’était pas assez réceptif à mon retour. A la réflexion, prévoyait-elle une dégradation de son vagin pendant mon absence pour en arriver à cette proposition « indécente ». Ah ? Avait-elle un rendez-vous galant ? Celui-ci lui faisait-il redouter une rechute, des douleurs et des brûlures insupportables si fortes qu’elle se croyait déjà obligée d’offrir dès à présent une entrée en elle par la petite porte. Que de pudeur vaincue tout à coup! Quelle conversion troublante après des années de refoulement. Oui tout change, je suis ébahi d’avoir entendu ces propos dans la bouche de ma femme. Mais encore : La pénétration anale lui manque-t-elle ou n’est-ce vraiment qu’un ersatz, un produit de substitution quand le sexe est défaillant ? Les tourments nés de son indisposition ont créé un appel à de nouvelles pratiques. Elle-même se sent frustrée de ne plus faire l’amour et cherche des solutions pour ...