Un réveillon pervers (5 et fin)
Datte: 27/10/2017,
Catégories:
Partouze / Groupe
... d'Hugo ne dû pas le satisfaire, mais à moi oui. Sur le coup j'ai eu peur qu'il les invite à nous suivre. Comme mes trois compères, je regardais une dernière fois la fille sur le comptoir, à présent positionnée face à ses admirateurs, légèrement accroupie et cuisses écartées, elle offrait aux regards avides l'intégralité de son minou. En regagnant la sortie et le vestiaire, je retrouvais sur mes pas l'intérimaire, déçu que je parte. Il profita tout de même pour me caresser une dernière fois les seins les fesses et ma fente poisseuse de ma cyprine, souda sa bouche à la mienne pour un court mais intense baiser et me confia qu'il espérait me revoir et pourquoi pas au boulot lors d'une future mission intérimaire, ou ailleurs. En réponse je restais évasive avec un "peut être qui sait ?". Le trajet ne fut pas long, Tony avait su maintenir mon excitation en ébullition par ses caresses. Le petit appartement d’Alban était meublé du strict nécessaire et en désordre, mais je n’étais pas là pour faire un état des lieux. Après mettre débarrassée de mon manteau, ma robe s’envola très vite, suivie, après quelques caresses à six mains par le collant, je me retrouvais nue au milieu des trois jeunes hommes, une main appuya sur mon épaule, docile je m’accroupie, le visage entouré de trois queues bien raides. Sans qu’on ne me demande quoique ce soit, ma bouche gobait celle qui me faisait face alors que mes mains branlaient lentement les deux restantes. Ils invertissaient leur place pour ...
... profiter à tour de rôle de ma bouche, chacun cadençant son rythme en me maintenant d’une main agrippée à mes cheveux. Les deux que je branlais me trituraient la poitrine, tordant et pinçant mes tétons tout en malaxant les seins. Hugo se pencha et glissa sa main entre mes cuisses, joua en virtuose avec mon clito avant de m’enfoncer de doigts dans le vagin pour me le pistonner et annoncer à ses comparses : - Elle est trempée cette salope, Alban elle dégouline sur ton carrelage ! - T’inquiète on va la défoncer cette chienne, elle n’attend que ça ! Hugo me fit me redresser, écarta mes jambes et pliée en avant je continuai de sucer et branler Tony et Alban qui me caressaient les seins alors qu’Hugo s’amusait à faire entrer la télécommande de la télé dans ma chatte pendant que son pouce testait l’élasticité de mon œillet. (Je n’ai jamais su si elle avait pu refonctionner après être entrée profondément en moi et avoir été engluée de ma cyprine.) Il n’en fallait pas plus pour me faire décoller et de les supplier de me baiser que je les voulais tous les trois à la fois. Alban m’assura qu’ils allaient bien s’occuper de moi et que je me souviendrai très longtemps de ce premier janvier ! Pour les exciter encore plus, (comme si ils en avaient eu besoin) je les défiais en leur disant : - Je suis votre chienne, baisez moi, enculez moi, prenez moi par tous mes trous comme une pute ! Il n’en fallu pas plus pour déclencher la débauche des trois mâles qui durant une grosse demi-heure me labourèrent ...