Un réveillon pervers (5 et fin)
Datte: 27/10/2017,
Catégories:
Partouze / Groupe
... le rectum et je jouis durant son éjaculation. Cette fois j’étais anéantie, juste une poupée de chiffon abandonnée de toute ses forces, mais savourant son plaisir. Une fois remise de cet état semi-comateux, je les remerciais en les embrassant, je renfilais mon collant et ma petite robe, chaussais mes escarpins et leur demandais de me raccompagner. Avant de rejoindre mon domicile, nous échangions nos numéros de téléphone, je n’y tenais pas plus que cela, mais ça m’évitait de les supplier de me reconduire et cela leur laisser un espoir de me revoir. Dehors, il faisait grand jour, la légère froidure nous fit frissonner. Dans la voiture, Tony profita de ces derniers instants pour encore me caresser, je m’y prêtais volontiers et même abondant à son délire de faire un gang-bang, le fantasme fut communicatif et Hugo et Alban y ajoutèrent leurs grains de sel. Ils me voyaient déjà dans un entrepôt abandonné au milieu d’une vingtaine de mecs assoiffés de sexe, pour finir dégoulinante de sperme. Arrivés au pied de mon immeuble, ils me proposèrent de monter avec moi, je refusais gentiment en prétextant que mon compagnon devait être rentré. Sur le trottoir, ils m’embrassèrent chacun leur tour tout en me caressant une dernière fois. Tant pis si un ou des voisins, couche-tard ou lève-tôt (c’est selon), m’apercevaient avec ces trois amants qui n’arrêtaient pas de m’enlacer et de m’embrasser, risquaient de me ...
... faire une sacrée réputation, je ne regrettais pas cet instant et ceux qui l’avaient précédé. Je m’engouffrais dans mon immeuble, après leur avoir fait un dernier coucou de la main. En montant les escaliers, je sentais leur sperme s’écouler de ma chatte et de mon anus pour finir par se répandre dans les mailles du collant. Je ne pus m’empêcher de de me dire que je m’étais comportée comme la pire des salopes, mais en plus j’avais aimé ça ! A peine entrée dans mon salon, je jetais mon manteau sur un fauteuil. Après avoir bu un grand verre d’eau, je fouillais mon sac à main, pour en sortir mon téléphone et appeler Eric pour lui dire que j’étais rentrée. Après plusieurs sonneries, je tombais sur sa messagerie. Je regrettais de ne pouvoir lui parler directement, je lui laissais le message suivant : « mon amour, je viens tout juste de rentrer, il me tarde de t’avoir contre moi, j’ai beaucoup de choses à te raconter, je pense avoir dépassé tes espérances, rentre vite mon chéri, ta chienne salope t’attend docilement. Je t’aime ! ». Je m’allongeais sur le canapé, couverte d’un plaid, mon esprit revivais cette nuit torride tout en me laisser tomber dans les bras de Morphée. (Tiens et un de plus). Ce qui est certain j’allais avoir de quoi lui raconter à mon homme, avec pour preuve les traces de ma débauche sur ma robe et mon collant. A n'en pas douter cela allait dégénérer en un beau et bon moment bien coquin.