Fantaisie aquatique
Datte: 29/06/2017,
Catégories:
fh,
jeunes,
Inceste / Tabou
vacances,
bain,
volupté,
Voyeur / Exhib / Nudisme
intermast,
Oral
init,
... s’écartent et se resserrent aussitôt, alternant offre et frustration. Bientôt, n’y tenant plus, je m’avance entre ses cuisses, j’écarte ses fesses, les resserre sur mon sexe durci et entame un va-et-vient… Elle s’esquive doucement et se retourne. — Non, s’il te plaît, pas maintenant. Profitons tranquillement de ce moment, je t’en prie… Elle a raison. Je retourne nager un peu en eau froide pour me calmer. Et puis on recommence à jouer dans l’eau, à se poursuivre, à se frôler, se toucher furtivement, s’attraper, se regarder. Elle sait que je la regarde, partout, elle m’a amené ici pour cela. Je regarde sans vergogne et essaye de m’en gorger les yeux et les souvenirs, de ce corps de femme. Tantôt un éclair blanc glissant dans l’eau, tantôt ses seins lorsqu’elle saute hors de l’eau en levant les bras, son dos et ses fesses lorsqu’elle plonge, son ventre, son intimité, parfois furtive, parfois bien exposée, et son visage toujours riant. Elle s’accoude à nouveau sur le bord du rocher, sur le dos cette fois, fermant les yeux à cause du soleil, écartant les jambes pour goûter la caresse de l’eau. Je la regarde, encore et encore, m’avance à nouveau vers elle, replie ses jambes largement écartées, me plaque contre ce sexe qu’il m’est interdit de pénétrer, lui caresse doucement les seins. — Oui, souffle-t-elle, comme ça si tu veux, tout doucement… Je me penche sur ses seins pour les baiser. Je prends les pointes entre mes lèvres, les sens durcir encore. — Oui, comme ça, tout doucement… ...
... Et je les caresse encore, me repaissant de la douceur exquise de sa peau. J’arrive à ne plus être fébrile, à me contrôler. Et je caresse ses fesses, tout doucement, son ventre, reviens à ses seins, puis ses fesses, que j’écarte pour la caresser autour de son petit trou. Mon sexe, complètement érigé, toujours plaqué contre le sien, commence à crier au secours. Alors je m’écarte un peu d’elle, pour la caresser dans l’eau, entre ses cuisses, tout en haut, là où la peau est si douce, m’insinuer vers son petit bouton, errer vers l’autre petit trou et appuyer dessus comme pour faire mine de le forcer -elle frissonne - caresser l’entrée de son vagin, y lancer furtivement un petit coup de langue, déposer un petit baiser sur ses nymphettes et les serrer furtivement entre mes lèvres, revenir au bouton et caresser, caresser, caresser. Elle pousse sur ses cuisses, comme pour mieux s’ouvrir. Et, la tête à moitié dans l’eau, respirant de temps en temps, je léchotte et suçotte le petit bouton, le bout de ma langue s’active de plus en plus vite. Et soudain elle commence à se tortiller comme pour se dégager, à essayer de serrer les cuisses que je tiens bien écartées, elle ferme les yeux, se cambre. — Arrête ! Arrête ! Le visage dans l’eau, je ne peux plus respirer. Je me redresse, continue à exciter sans pitié le petit bouton avec mon doigt. Elle se tortille de plus belle, gémit, se cambre, elle empoigne ses seins à deux mains, écarte ses fesses, elle empoigne au passage ma verge, la branle ...