1. Fantaisie aquatique


    Datte: 29/06/2017, Catégories: fh, jeunes, Inceste / Tabou vacances, bain, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, Oral init,

    ... douloureusement et, soudain, au moment même où j’éjacule, elle se cabre, complètement, immobile, comme tétanisée. Elle reste ainsi un temps qui me paraît très long et puis retombe doucement. — Je crois bien qu’on a joui, dit-elle dans un soupir. Et puis bientôt on va s’étendre sur le grand rocher plat… Nous sommes tous les deux à plat ventre, lézardant, nus au soleil. — Bonjour ! C’est la surprise. On pensait être tranquille : "Il ne vient jamais personne ici" ! Et mon maillot qui gît par terre à cinq mètres d’ici ! On relève la tête. Deux jeunes filles en mini robe sont là, sur notre rocher, les sandales à la main, mouillées jusqu’à mi-cuisse. Je ne sais pas depuis combien de temps. Je me demande s’il n’y a pas un petit sourire sur leurs lèvres. — On ne vous dérange pas ? Elles ont un petit accent nordique tout à fait charmant. Nous n’avons pas le temps de répondre. Déjà elles ont fait voler leurs robes par-dessus leur tête, fait glisser leurs slips et, complètement nues, plongent dans l’eau. — Eh bien, c’est fête pour toi, me murmure Martine.— Tu es jalouse ?— Je n’ai pas d’exclusivité. Et ça peut être intéressant. Toujours à plat ventre, le menton sur nos bras repliés, nous regardons. Les deux filles s’ébattent dans l’eau, jouant à s’asperger en riant, comme des gamines. Elles nagent, se poursuivent, s’attrapent, elles jouent. Et puis, debout dans l’eau jusqu’aux épaules, elles se rapprochent, s’enlacent et s’embrassent sur la bouche, d’abord tout doucement, puis bientôt ...
    ... goulûment. Puis l’une d’elles se retourne et, à travers l’eau très claire, on devine les caresses sur les seins, le ventre, le sexe… Cela devient énervant. On ne devrait pas regarder, mais on ne peut pas s’en empêcher. Je suis obligé de me soulever un instant pour mettre mon sexe vers le haut pour bander tout mon saoul, sans perforer le rocher. Martine m’a dit l’autre jour que ce n’était pas trop son truc, mais elle a l’air quand même bien scotchée. Les deux filles nagent vers nous, remontent sur le rocher, sans gêne aucune et s’assoient à côté de nous, le menton sur les genoux repliés. Derrière les pieds j’aperçois des grandes lèvres fermées, très appétissantes, bordées de longs poils blonds et frisés. J’ai du mal à en détacher les yeux. Ce n’est pas avec ça que mon émoi va se calmer… — Vous êtes très beaux, tous les deux, dit l’une d’elle en caressant doucement les fesses de Martine. Voulez-vous vous amuser avec nous ? Martine reste interdite. On se regarde, un peu paniqués. Elle prend l’initiative : — Non, non merci, madame. D’ailleurs on doit rentrer. Elle se lève, ramasse son maillot et, sans même, l’enfiler plonge dans l’eau et nage vers la rive. Je la suis et comme elle, récupérant mon slip au vol sans penser à cacher mon émoi, je plonge précipitamment à mon tour. Les deux filles éclatent de rire. Nous finissons de nous rhabiller sans même nous sécher et sommes pris d’un fou rire qui nous tiendra jusqu’aux vélos. ©©© Journal de Martine - Mercredi soir L’apprentissage ...