Sous la coupe d'une dominatrice pudique
Datte: 12/02/2021,
Catégories:
fh,
fplusag,
fagée,
gros(ses),
grosseins,
poilu(e)s,
hsoumis,
fdomine,
odeurs,
BDSM / Fétichisme
Oral
pénétratio,
uro,
délire,
... de prêt qu’elle ne remplissait jamais, un café au distributeur… Presque à chaque fois, Annie – elle avait finit par me dire son prénom – me complimentait de façon appuyée sur ma serviabilité, faisant valoir de temps à autre, mais avec de plus en plus d’insistance que si les femmes avaient été depuis toujours soumises aux hommes, il était temps que ça change. Jamais elle ne renouvela le coup de la règle, ce n’était plus la peine puisqu’elle savait ce que j’étais. En même temps je sentais chez elle beaucoup de timidité et de pudeur, ce que montraient ses vêtements très classiques, son chemisier souvent blanc, ses petits escarpins vernis qui lui donnaient l’air encore plus âgée, et surtout l’air d’une paroissienne modèle. Lorsque j’appris de sa bouche qu’elle enseignait dans une école catholique de la ville connue pour la sévérité de sa discipline, je compris que ce style illustrait aussi son milieu social. Là aussi, les choses auraient pu en rester là si ma femme ne m’avait pas mis à la porte de son appartement de famille, presque du jour au lendemain, sans vraiment me laisser le temps de me retourner. Déboussolé par la chose, d’autant que ma femme s’occupait ordinairement de tout, je demandai conseil à Annie, sans chercher plus loin. À mon grand étonnement, car je pensais aller à l’hôtel le temps de trouver un petit studio, elle me proposa alors de trouver provisoirement refuge dans l’une des chambres de sa maison de famille. Sans plus me demander mon avis, elle me donna ...
... rendez-vous le lendemain à 18 heures, après la fin de ses cours, pour me montrer ma petite chambre et savoir si je voulais m’y installer. À l’heure dite, j’étais devant sa porte, étonné de voir une maison bourgeoise au-dessus des moyens d’une simple enseignante. Je sonnais, elle me fit entrer dans le salon qui lui aussi montrait l’aisance de sa propriétaire. Je lui faisais des compliments de sa belle maison. Elle me dit qu’elle lui venait de sa mère, et que son activité de professeur dans une école privée du centre-ville était surtout destinée à lui donner une activité, qu’au demeurant elle aimait. Elle ajouta qu’elle trouvait aussi un certain plaisir à tenir en main une classe d’adolescents, un peu turbulents de nature, et sur lesquelles elle pouvait expérimenter l’éducation sévère de sa jeunesse. Au cours d’une brève conversation, elle me fit comprendre que si elle me rendait service en me logeant dans une ancienne chambre de bonne, à l’étage, elle attendait de moi des services… dont elle ne précisa pas la nature. Elle me dit seulement qu’il faudrait au moins que j’envisage de faire son ménage, puisque sa femme de ménage était partie après une violente dispute. Elle me précisa que je n’aurais pas les clés de la maison et que je devrais respecter ses horaires pour entrer et sortir : 7 h 30 le matin, pas de retour après 21 h… J’avais le droit de me faire à manger dans une petite cuisine attenante à la chambre de bonne. Je commençais déjà à regretter d’avoir accepté son offre, mais ...