1. Sous la coupe d'une dominatrice pudique


    Datte: 12/02/2021, Catégories: fh, fplusag, fagée, gros(ses), grosseins, poilu(e)s, hsoumis, fdomine, odeurs, BDSM / Fétichisme Oral pénétratio, uro, délire,

    ... il était trop tard pour revenir en arrière, et puis je sentais confusément qu’elle ne me disait pas tout. Heureux de trouver une chambre à si bon prix, j’acceptais néanmoins toutes ses conditions à venir, et j’obtins l’autorisation d’emménager après avoir été chercher mes affaires. Pendant quatre semaines, rien de particulier ne se passa. Je lui faisais le ménage, et de temps à autre elle m’invitait à dîner, préparant le repas mais se faisant ensuite servir à l’assiette. Le repas se passait presque sans que l’on échange un mot, mais elle commença de plus en plus souvent à me frôler de son ventre, de ses fesses, de ses seins à chaque fois qu’elle se levait pendant que je la servais, ou plus souvent pendant que je faisais la vaisselle, posant de temps à autre la main sur mon épaule, mon cou… Je comprenais maintenant ce qu’elle désirait vraiment, mais comme je suis passif avec les femmes, attendant qu’elles expriment leurs désirs ou leurs ordres, j’attendais… Enfin, voyant que je ne ferai pas les premiers pas, elle se décida à aller jusqu’au bout de son désir de me dominer et de se servir de moi à sa guise. En fait elle savait depuis longtemps que je n’attendais que cela. Un soir, après un repas très arrosé qui sentait le guet-apens, alors que je lui faisais la vaisselle, je l’entendis approcher à petits pas derrière moi. Je savais que c’était le moment qu’elle avait choisi… Je ne fus donc pas surpris quand, se collant contre mon dos et me saisissant fortement par taille avec ...
    ... son bras gauche, elle commença à me caresser la poitrine, puis les fesses de sa main droite sans rien dire, tout en m’embrassant dans le cou. Au bout d’un moment elle me retourna, se colla étroitement contre moi et commença à m’embrasser profondément en fouillant ma bouche avec sa langue, me tenant à deux mains derrière la tête pour m’immobiliser. Délaissant ma nuque de l’une de ses mains, elle l’introduit entre son vente le mien, puis se mis à me caresser lentement le sexe, en faisant de même pour le sien avec sa paume. Se retirant brusquement en arrière, elle m’intima l’ordre d’aller prendre une douche et de bien me savonner partout, en me disant qu’elle était très à cheval là-dessus pour tout ce qui dépendait d’elle. Cela me fit drôle d’être comparé à son mobilier ciré, mais je m’exécutais sans rien dire, après qu’elle m’ait indiqué l’emplacement de sa salle de bains et qu’elle m’ait montré la chemise de nuit en coton toute blanche, une des siennes, qu’elle m’affectait pour la nuit. Elle me dit aussi qu’une fois lavé je devais filer sans plus tarder me coucher « là bas », en me pointant sa chambre du doigt. Je m’exécutai… Une fois lavé j’allais me glisser sous les draps, dans une chambre dont la lumière était éteinte et qui n’était vaguement éclairée que par la lumière du fond du couloir, les rideaux de la fenêtre donnant sur la rue étant soigneusement tirés. La sachant très pudique et complexée par son embonpoint, je devinai qu’elle ne me rejoindrait que dans le noir. Elle ...