11 - Voir, et... être vu !
Datte: 14/02/2021,
Catégories:
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grossexe,
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Oral
double,
hdanus,
... corporelle. Je ne saurais dire pourquoi, mais à cet instant, je pense aux gens qui passent dans la rue, devant le rideau fermé. Ils sont probablement très loin de se douter que là, juste derrière, un homme est en train de se faire casser le cul… rien que parce qu’il adore ça et en redemande ! — Oh, ce qu’elle est bonne ! J’adore ta queue. Baise-moi. Encore deux poussées, et Patrick fait partie de moi. Nos organes sont étroitement impliqués. Il s’allonge sur moi et commence à remuer en moi. Son nœud est juste… dans mon ventre, et pourtant, il est moins long que Franck ! Il ondule, glisse d’avant en arrière, ne se servant que de son énorme taille pour me faire frissonner de tout mon être. Il me parle à l’oreille, me souhaite un joyeux anniversaire, ne décollant que son pubis pour se réintroduire de quelques centimètres. Puis m’envoie une volée de coup de testicules très rapide, me faisant presque hurler de bonheur et s’arrête soudain pour m’entendre lui dire : — Encore ! N’arrête pas. Il entraîne ma jambe au sol, me laissant le cul perpendiculaire à la table, et avec douceur va-et-vient sur toute sa longueur. Puis sort de moi, regarde et commente mon cul grand ouvert, me pointe de nouveau et se renfile jusqu’aux couilles. En magicien du cul, il joue à faire disparaître mon plaisir pour mieux le faire revenir ailleurs. Sans sortir de moi, il attrape mes chevilles pour me faire rouler sur la table. Sa queue faisant un demi-tour en moi est une sensation indescriptible. Mes ...
... mollets contre son torse, il me baise gentiment, malaxant ma prostate dans cette position avec la courbure naturelle de son sexe. Mes couilles tressautent lorsqu’à ma demande il s’emballe, faisant monter de plus en plus les éléments constituants un orgasme ravageur. — N’arrête pas. Tu vas bientôt me faire jouir avec ta grosse bite. Encule-moi. Baise-moi. Fais ce que tu veux, mais ne t’arrête surtout pas. Dynamisé par ma requête, il décule, me fait glisser sur la table et monte me rejoindre. Il la présente à mes lèvres. Je l’attrape des deux mains et la pompe d’une façon effrénée, la sentant dure est prête à me défoncer. — Tu en veux encore un peu ? ironise-t-il en plantant trois doigts entre mes fesses.— Oui, je veux que tu me sautes jusqu’à me faire jouir.— Bois un peu, dit-il en me tendant la bouteille. J’avale une grosse rasade, il en fait de même, et retourne se placer entre mes jambes. En appui sur ses bras, mes genoux coincés dans le pli de ses coudes, je guide sa queue en moi. Ainsi écarté, il joue à se faire désirer, ne coulissant que de quelques centimètres pour me taquiner, puis finalement se rengage totalement. Malgré la position, je parviens à le saisir par les hanches pour le tirer compulsivement en moi. La pression monte, je glisse vers un état second pour lequel l’alcool n’est sûrement pas innocent. Ma tête tourne de gauche à droite, mes reins me brûlent, mais lui ne le voit pas ainsi, il sort de mes fesses. Assis les jambes écartées, ses couilles s’étalent sur la ...