1. Soumise au destin (1)


    Datte: 14/02/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... son regard sur tout mon corps en fixant ma bouche avec insistance. Je déglutis et dis d’une toute petite voix : - Je suis désolée, je ne vous avais pas vu. Vous prenez ce train vous aussi ? vous êtes dans quelle voiture ? moi c’est la voiture 7, il me semble. Vous êtes Parisien ? Je suis marseillaise, je vais passer un entretien d’embauche sur Paris. Du coup, c’est le stress total ! Mais qu’est-ce que je racontais?! Me rendant compte de mon indiscrétion et de mon flux de parole inappropriée, je me tus sur le champ et ressentis une honte indescriptible. Si je pouvais à l’instant me glisser dans le trou d’une petite souris, je le ferais illico. Malheureusement, à la place, je fixais mes chaussures, priant pour qu’il ne me fasse pas une remarque désobligeante sur mes questions indiscrètes et qu’il monte dans le train le plus vite possible. - Je vous en prie, passez devant, je suis en voiture 7 également, Me répondit- il avec un sourire en coin, en s’efforçant de ne pas éclater de rire devant ma gêne qu’il trouvait apparemment amusante. Le timbre de sa voix me perturbait et me procurait des frissons que je n’arrivais pas à déterminer. Etait-ce de la peur ? De l’excitation ? Les deux ? Je ne saurais vous dire, mais une chose était sure, j’étais loin d’être à l’aise comme si mon subconscient me mettait en garde et me soufflait que cet homme était dangereux. Je ne me fis pas prier, pris ma valise et m’installais sur mon siège que j’espérais loin de cet homme qui me mettait dans ...
    ... tous mes états. Je vous assure, qu’à ce moment-là, je ne rêvais que d’une chose, être le plus loin possible de cet homme des plus déconcertant. Malheureusement, Je devais certainement avoir fait quelque chose de mal dans une vie antérieure car je le vis s’installer trois allées plus loin, coté couloir, juste en face de moi. J’allais devoir croiser son regard pendant presque 4 heures et faire comme si j’étais complètement indifférente et qu’il ne me perturbait pas du tout. Autant vous dire, mission impossible, je commençais déjà à rougir et à ressentir un picotement entre les jambes. Mon corps surchauffait. Je ne contrôlais absolument plus les effets de cet homme, imposant et mature, sur mon corps. J’en devenais même humide. Je ne savais plus où me mettre, et priais pour qu’il soit occupé pendant tout le trajet et qu’il ne s’aperçut pas de mon émoi. Mon excitation grandissante, je sentis ma mouille tremper mapetite culotte malgré moi. La panique me submergea. Décidant de me ressaisir, je pris mon carnet où j’avais mis les points clés de mon parcours professionnel pour mon entretien et me mis à lire. J’essayais de me concentrer autant que je le pouvais, mais sentais une gêne comme si l’on m’observait. Voulant savoir d’où me venait ce sentiment d’être épiée, je relevais la tête et aperçus le soixantenaire me scruter avec une lueur brillante dans le regard. Il fixait ma jupe et mes jambes gainées de bas. Je baissais la tête pour me rendre compte que la dentelle de mes bas était ...