1. Soumise au destin (1)


    Datte: 14/02/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... mes cuisses. Je m’exhibais volontairement à lui. Je divaguais et pourtant..., pourtant, il n’avait rien fait. Il était installé confortablement sur son siège, avec une maîtrise totale de lui-même. Il dégageait une énergie qui m’attirait irrésistiblement. Je ne voulais pas qu’il me quitte du regard. J’étais subjuguée par sa prestance et son calme. Un calme serein alors que je sentais en lui l’envie de me dévorer. Je devenais peut être folle. J’étais sûrement en train de me ridiculiser. Je ne savais plus, je n’arrivais plus à réfléchir. La seule chose dont j’étais sure, c’est que j’avais envie de cet homme, que je ne connaissais pas du tout. Cet homme, qui avait l’âge de mon père et qui contrôlait complètement mon plaisir. Devais-je arrêter ? Le problème, c’était que je m’en sentais tout simplement incapable. Pendant que je luttais intérieurement, je le vis se lever et se dirigeait doucement vers moi. Paniquant, je regardais autour de moi et fut rassurée. Personne n’avait remarqué notre échange. Tout le monde semblait concentrer par ses occupations. Je l’observais donc s’approcher de moi. Il s’arrêta à quelque centimètre, de toute sa hauteur et marqua un temps d’arrêt. Je me sentais encore plus minuscule et impressionnée. Mon cœur battait la chamade. Je sentais son odeur, un soupçon de jasmin, renforçant son emprise sur moi. Il était si beau, si viril et impressionnant, il dégageait une assurance à l’opposé de ce que je ressentais sur l’instant. Doucement, il se pencha et me ...
    ... chuchota à l’oreille : - Je veux que tu ailles aux toilettes et que tu enlèves cette jolie culotte que j’ai aperçue. Tu as 5 minutes. Croyant avoir mal entendu, je rougis mal à l’aise. Avait-t-il vraiment demandé ça ? Cela ne pouvait être possible ! Cependant, il maintenait mon regard prolongeant le silence. — Mais, je ne vous... tentais je de m’y opposer, la boule au ventre. — Chut ! je ne te demande pas ton avis, j’exige que tu ailles l’enlever et que tu la laisses en évidence. Fais moi confiance, tu vas aimer ça. — D’accord — Oui Monsieur. Même en chuchotant, j’entendais son ton autoritaire. Baissant le regard, je répétais : — Oui Monsieur. — C’est bien. Et maintenant, obéis. Sur ces paroles, il retourna s’assoir à sa place. Sans m’en rendre spécialement compte, je marchais comme un automate vers les toilettes et fit glisser ma culotte le long de mes jambes. Rien que le geste accentua la tension qui émanait de mon sexe. J’étais littéralement liquéfiée. Lorsque je me rendis à ma place, je sentais mes lèvres se frottaient l’une à l’autre tellement elles étaient gonflées d’excitation et de mouille. Je n’avais qu’une hâte, me soulager, mais je ne pouvais pas ! Une vraie torture. Une délicieuse torture au point d’en avoir mal. Quelle sensation ! C’était incroyable. La tension s’accentua encore lorsque je le vis se rendre à son tour aux toilettes et revenir tranquillement d’un pas de velours. Jamais je n’avais été aussi excitée de ma vie. De retour à sa place, il fit un geste ...