1. Correspondance érotique


    Datte: 27/10/2017, Catégories: Lesbienne

    ... douche, m’enroulais dans une serviette et je t’attendis le corps en émois. Midi passa de quinze, trente, quarante cinq. J’étais triste. Me serais je trompée sur toi? J’avais décidé de rester le plus longtemps possible. Il était treize heure passé de quelque minute, lorsque j’entendis frapper timidement à la porte. Je l’ouvris le cœur battant. Tu étais là. Je pris ta main et te fis entrer dans la pièce. Je fermais le verrou et te fis face. Tu ne me quittais pas des yeux. Je défis le nœud de ma serviette et la laissais tomber offrant mon corps nu à ton regard. Je m’approchais. Nos yeux étaient rivés les uns dans les autres. Doucement, je déposais un baiser sur tes lèvres closes. -Je suis folle! » dis tu dans un souffle. Je pris ton sac et le retirais. Je pris ta veste et la retirais. Tu ne m’en empêchais pas et cela était déjà une autre victoire pour moi. Je te pris alors dans mes bras et t’embrassais. Tu te laissa faire et ouvris la bouche. Nos langues se mêlèrent enfin. Tu frissonnais. Je sentis enfin tes mains se poser sur mes hanches et les caresser doucement. Tu t’enhardis et les glissa sur mes fesses. Je les balançais te montrant que j’appréciais beaucoup. Tu embrassais bien. Tout en continuant notre baisé, je te débarrassais de ton chemisier. Deux merveilleux globes apparurent. Je quittais ta bouche pour les cajoler, les lécher et les sucer. Tu gémis. Tu retiras ta jupe de toi même. Ton string bleu me chavira les sens. *-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*- Je fus réveillée ...
    ... par des gémissements. Visiblement ils venaient de votre chambre. Je glissais hors du canapé où vous m’aviez installé et allait voir telle une petite sourie. Tu étais à quatre patte et ton copain t’honorait par derrière. Vous ne pouviez me voir. Je glissais alors une main sur mon sexe et me caressais en vous regardant. C’est alors que vous jouîtes en cœur tous les deux. C’était mignon. Je suis repartie m’allonger dans le canapé. Ton copain se doucha et partit travailler. On était lundi et tu ne travaillais pas ce jour là. Je suis retournée vers la chambre. Tu dormais, le drap sur ta peau humide de sueur. Je m’approchais doucement du lit. Lentement, je fis glisser le drap hors de ton corps. Je pus enfin t’admirer rien que pour moi. Tu avais les jambes légèrement écartées. Je voyais tes douces lèvres humides de tes liqueurs et de la semence de ton homme. Je descendis ma tête. Je reniflais ton odeur, et cela m’enivra. Timidement, je posais une main sur ton sexe imberbe. Tu gémis doucement et t’écarta un peu plus. Tu dormais toujours. Je massais ton mont de vénus et ton corps répondait à ma caresse. De la liqueur perla à nouveau. Je posais ma bouche sur tes lèvres délicate et goûtait ta cyprine. Hummm, c’était divin. Je glissais ma langue dans tes chairs liquéfiées. J’agrippais tes cuisses et dévorais ta petite chatte. Tu te réveillas et sursautas. Je te regardais sans quitter ta fontaine. *-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*- Mon petit bouton salé Je me suis réveillée ce matin avec un ...
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