Les mémoires de Jonathan (5)
Datte: 15/02/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
... de sa proie. Ma femme me laisse comprendre son impatience à se faire dévorer tout entière par de légers grognements gutturaux. Finalement, le bout de ma langue sillonne le côté gauche de ses grandes lèvres et passe ensuite au côté droit. Le bonheur de ma partenaire se fait entendre instantanément par de doux soupirs de satisfaction, comme si elle venait de goûter à la plus succulente des boissons ou remporter le grand prix Nobel. Non sans demeurer sur le même ton, je m’approche de l’intérieur de ses petites lèvres intimes, variant le rythme de ma langue, optant tantôt par de lentes progressions circulaires, tantôt par de rapides balayements de gauche à droite et de haut en bas sans toutefois ne jamais franchir la limite près de son excroissance malgré les suppliques de ma bien-aimée. Je la sens prête à exploser son plaisir et, il faut bien se l’avouer, l’attente de la délivrance n’en est que plus jouissive lorsqu’on sait patienter jusqu’à la limite du tolérable et même un peu au-delà. Si jamais j’ajournais ce moment infime qui sépare l’interminable état d’euphorie de la libération tant attendue en croquant le fruit défendu appeler si poétiquement la perle d’amour ou le bouton d’or, je romprais ainsi ce que tous recherchent en définitive sans oser se l’avouer ; pouvoir demeurer le plus longtemps possible dans l’état extatique qui précède la béatitude. Désirant prolonger ce moment pour l’éternité bien qu’il soit éphémère. Finalement, lorsque je comprends l’impatience de ma ...
... compagne à vouloir être délivrée, je lui accorde enfin ce qu’elle réclame de tout son être. Par contre, cela ne se fera pas sans que j’aie pleinement fait ressentir, à Marie, le meilleur de cette caresse. Mes lèvres encerclent son bouton d’amour et se mettent à l’aspirer, le suçoter, de façon lente et progressive au début et d’un rythme effréné par la suite. Ma langue ne reste pas inactive, elle tournoie autour de cette petite perle et passe parfois dessus afin de la lubrifier comme il se doit. Je ne voudrais pas que ma partenaire ressente une douleur due à l’inconfort de la friction. En conclusion de mon travail demandant une certaine précision, je lubrifie deux de mes doigts de la main droite et j’enfonce l’un d’entre eux dans l’antre du plaisir de ma Marie adorée, coulissant de haut en bas. Quelques instants après, je fais entrer le second et je débute un savant massage de l’organe de ma femme chérie. Mes doigts forment une sorte de crochet et viennent s’appuyer contre une zone sensible chez ma femme qui, une fois stimulée, lui procure un plaisir indicible. Le point de Gräfenberg. Cette zone secrète qui se trouve à environ trois centimètres de l’entrée de sa source des délices, longeant son bouton d’or et qui excite grandement les femmes en général. Je la sens en phase avec cette caresse qu’elle affectionne tout particulièrement. Ses cris de satisfactions et son souffle saccadé en sont ma référence. J’opte alors pour une exploration en profondeur et je vais, avec mes doigts en ...