Les mémoires de Jonathan (5)
Datte: 15/02/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
... elle, frotter ce qu’on appelle le « deep spot ». Cette zone comporte deux paliers. Le premier se situe à environ sept centimètres de l’entrée, appelé le « front spot », et se situe sur le même côté que le point de Gäfenberg. Le deuxième palier, appelé le « back spot », se situe à environ neuf centimètres de l’autre paroi du vagin et les effets sont encore plus jouissifs que ceux du premier point. D’ailleurs, je n’ai pas trop de difficultés à les repérer puisqu’ils sont de la même taille que celle du point de Gräfenberg, un petit renflement d’environ deux centimètres de diamètres. Quand j’atteins ce dernier point, c’est un geyser d’eau lubrifié qui me parvient à la figure. Je n’ai pas le temps de réaliser la surprise de l’instant que ses cuisses se resserrent sur ma tête, m’emprisonnant. Ma femme se tortille spasmodiquement dans l’extase et l’agonie d’une délivrance bien méritée et tant attendue. Une fois son enivrement d’endorphine passé, l’étreinte se résorbe et me libère. Une minute de plus et je crois que je mourrais asphyxié ou plutôt noyé de bonheur. Je dépose ma femme par terre car tout le temps qu’a duré son plaisir, je la soutenais, car, ses jambes ne pouvaient la supporter davantage. eqveoomz Marie me regarde et m’adresse quelques mots inaudibles. Je vois bien ses lèvres bouger, mais aucun son ne parvient à mes oreilles. — John... John... Hé John, réveille-toi ! Ces paroles sont comme une douce musique et je sors lentement de mes doux souvenirs. — Dis John, tu ...
... dormais ? — Quoi ? — Oh oui, il dormait et pas qu’un peu, déclara Julie. Tu devrais l’asperger d’eau Lily, ça finirait de le réveiller assez vite. — Ou bien tu n’as qu’à le balancer dans la piscine, ça sera encore plus rapide, déclare Gwen. — Sérieusement les filles, vous n’êtes pas drôle. Arrêtez de l’embêter. Cette dernière phrase me fait rire. Tous partons dans un ricanement incontrôlable. Quelques minutes plus tard, les filles se prélassent dans l’eau et je les regarde nager. Gwen, dans ses années adolescentes, a pratiqué la natation et sa prestance ne laisse pas indifférente ma cousine Julie, qui, si j’en juge par les regards mielleux lancer à mon amie, en disent long sur son désir. La journée se déroule entre piscine et rafraîchissement. Le soir venu, je me repose dans mon lit attitré quand un toquement se fait entendre. Je me lève et je vais ouvrir. — Gwen ? Entre, je t’en prie. — Salut mon mignon. Tu te reposais ? — Oui, je méditais sur les événements qui me sont arrivés dernièrement. — Ce n’est pas trop difficile ? Je veux dire, est-ce que tu as encore ces idées noires au fond de toi ? — C’est bien ça que j’aime chez toi. Toujours inquiète à mon sujet, une vraie amie... Oui mais c’est comme si depuis que je suis arrivée chez mon oncle, un autre sentiment avait commencé à germer en moi et qu’il croissait au fil des jours. Je repense toujours à Marie, mais je me dis que si elle se trouvait à ma place, je ne pourrais la blâmer de vouloir refaire sa vie avec un autre gars. — ...