1. Histoire de Valérie.


    Datte: 15/02/2021, Catégories: Lesbienne

    ... de mode, spécialisée dans la lingerie. Et c’est en gros, mon métier de regarder des jolies femmes nues ou en tenue légère.- Ah… heu…- Et vous ? Qu’est ce que vous faites à New-York ?Et ainsi, je fis connaissance d’Amélie, jolie blonde d’1 mètre 78, avec de jolis yeux verts. Nous bûmes quelques autres cocktails ensemble, racontant chacun notre vie, et comment on se retrouvait à discuter à ce bar. Elle affichait une sensualité débordante et aimait s’en amusait. Totalement libérée, elle réussit à me détendre et à me faire raconter le pourquoi de mon trouble. Elle me racontait des choses que je n’aurais pu raconter à une inconnue, sa vie sexuelle débridée, et une personne au fond de moi l’enviait.Alors que l’on discutait de choses de plus en plus intime, je la vis enlever deux boutons de sa chemise blanche, et en bombant légèrement le torse fit sortir légèrement son soutien-gorge noir. Je me surpris à regarder sa poitrine dévoilée et sentis l’excitation de l’après-midi poindre le bout de son nez.-« Est-ce que tu aimes jouer avec les mecs ? me demanda-t-elle-C’est-à-dire ?-Regarde discrètement sur ta gauche, il y a quatre mecs qui nous matent et rigolent entre eux. C’est une attitude que je déteste chez ce genre de mecs.Je pris mon verre et je lançai un regard autour de moi. Je vis le groupe d’hommes. Ils riaient en nous regardant, l’un trouva mon regard, me souris en levant son verre.- En effet, oui.Elle me lança un regard coquin et bougea légèrement de son siège pour que les ...
    ... hommes puissent voir son décolleté plus que provocant. Je ne savais absolument pas comment tout cela allait se terminer mais je sentais en moi comme une barrière de l’interdit qui tombait et qui me laissait dans l’inconnu. J’en étais tremblante.Amélie continuait à faire la discussion tout en lançant des regards et autres sourires aux quatre gars. Elle les allumait tout simplement. Et moi qui ne voulais absolument pas finir la soirée avec des machos qui ne penseraient qu’à nos culs. Soudain Amélie se leva de son tabouret, me prit par la main et m’emmena vers les mâles. Je la suivis, plus par dépit, quand elle s’arrêta net à mi-chemin du groupe. Elle se tourna rapidement vers moi, prit ma nuque dans sa main et m’embrassa. Totalement prise au dépourvu, je me laissai faire, fermai même les yeux, subjuguée par les sensations ; la douceur de ses lèvres, le goût de son rouge à lèvres, la caresse de sa langue sur mes lèvres. J’entrouvris les miennes et sa langue passa dans l’ouverture. Ma langue vint timidement à sa rencontre. Je sentais le rhum qu’elle avait bu précédemment. Aussi soudainement elle arrêta son baiser, et repris sa marche vers les hommes ébahis tout en m’emmenant. Passant prés des hommes, elle leur dit « Sorry gentlemen, good night ». Et nous sortîmes du bar. Elle m’emmena vers les ascenseurs.- « Je crois qu’ils ne l’oublieront pas de sitôt » et elle ria. Je commençais à me remettre de ce baiser et esquissai un sourire « oui, c’était marrant ».- On boit un dernier verre ...
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