Histoire de Valérie.
Datte: 15/02/2021,
Catégories:
Lesbienne
... ?- Ou ?- Soit dans ma chambre soit dans la tienne ! Peu importe, demain je ne travaille qu’en fin d’après-midi- Moi aussi … peu importe. » Oui, il me fallait bien un verre pour me remettre de ce baiser doux, sensuel et enivrant.- Allons dans la mienne, comme ça je pourrais enfiler quelque chose de plus confortable.Et ainsi, je suivis Amélie dans sa chambre. Nous continuâmes à discuter, allant même nous raconter notre première fois. Toutes ces discussions me rendirent d’humeur coquine et lorsque je racontais mes souvenirs je commençais à raconter des choses de plus en plus inavouables, enfin pour moi, allant à avouer que je disais à mes amants que ma position favorite était la position de l’amazone alors qu’en vérité c’était la levrette, jusqu’à raconter en détail ma première fois et comment j’étais étonné de ce sexe d’homme dressé tel un appendice tout droit sorti d’un film d’alien, et une fois l’acte sexuel terminé, comment j’avais joué avec la verge afin d’en connaître le secret.Tout en racontant sa première expérience sado-maso, Amélie se leva et allant vers son armoire, défit sa chemise et la laissa tomber au sol. Je ne pus détourner mes yeux de sa poitrine, beaucoup plus grosse que mes petits 90B. Elle me vit la regarder et dit :- « C’est vrai que je t’ai vu nue cet après-midi, il faut que l’on soit quitte » et avant que je puisse répondre quoi que ce soit, dégrafa son soutien-gorge et le lança.o Il retomba sur mes genoux. Je ne savais pas quoi dire. Ses seins étaient ...
... magnifiques avec de grosses auréoles. Sans le soutien-gorge, ils retombèrent légèrement, signe d’une poitrine lourde. Elle défit les boutons de son pantalon qui glissa jusqu’à ses chevilles. Elle ne portait pas de culotte. Elle était totalement nue devant moi. Je ne savais quoi regarder. Elle avait un corps superbe, une peau claire presque blanche, des jambes fines, des cuisses musclées, des hanches parfaitement dessinées, un sexe épilé, totalement démuni de poil pubien, un ventre plat où se dessinaient ses abdos, des seins parfaits, et ses magnifiques cheveux d’or qui retombaient en cascade sur ses épaules.o Elle s’avança vers moi, se pencha et m’embrassa. Je fermai les yeux et me laissai faire. Elle se mit à califourchon sur moi. Je sentais ses seins contre moi. Je lançai timidement une main vers un de ses seins quand elle me plaqua la main sur l’un d’eux. Elle appuya avec force, m’indiquant que je ne devais pas hésiter.o Je sentais son téton dur dans ma paume. Je le pris entre deux doigts et jouai avec, chose que j’adorais que l’on me fasse. Elle me répondit par un petit halètement, elle aussi.o Soudain, elle se leva, me pris par la main et m’emmena vers son lit. Là elle me fit allongée et me dit dans le creux de l’oreille « je vais t’attacher, mais n’aies crainte ». Totalement perdue, je me laissai faire.o Elle m’attacha les mains au montant du lit avec deux foulards noirs, sans doute sa couleur préférée. Elle s’assit à califourchon sur moi et m’embrassa à nouveau, cette ...