Histoire d'une petite nymphe
Datte: 16/02/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
Voyeur / Exhib / Nudisme
Inceste / Tabou
Pour venir s’asseoir à mes côtés dans le canapé du salon, le grand-père de Luc attendit que sa femme monte se coucher, prenne ses médicaments et ne fasse plus de bruit au-dessus de nos têtes. Luc dormait depuis un bon moment déjà. Il tenait moins bien l’alcool que moi, et ce soir-là son grand-père nous avait gâtés dans ce sens : trois verres à l’apéro, deux bouteilles de vin à table et un digestif. J’étais ivre, mais j’avais toute ma tête. Et le cognac était un petit régal. Le grand-père m’en resservit un verre, puis s’assit en disant : – Luc est une petite nature. J’ai souri et nous avons trinqué. Il ajouta : – Contrairement à toi, ma mignonne. C’était l’été et il faisait nuit depuis un bon moment déjà. Je sortais avec Luc depuis quatre mois et nous étions arrivés la veille chez ses grands-parents que je ne connaissais pas. J’avais trouvé la grand-mère distante, un peu froide, contrairement au grand-père qui souriait presque tout le temps. J’ai dit : – Je vais être ivre, vous savez… – Mais non, tes yeux brillent à peine. Et puis ça ne fait pas de mal d’être ivre de temps en temps, non ? J’ai de nouveau souri, puis repris une gorgée. Le vieux m’observait. Ses yeux à lui brillaient. Je le vis vider son verre de cognac d’un trait et se pencher vers la table basse pour reprendre la bouteille. – Finis ton verre, dit-il. – Je vais vraiment être bourrée… – Et alors ? Où est le problème ? J’ai fini mon verre et il m’a resservie. – Le problème, c’est que je fais n’importe quoi ...
... quand je suis bourrée. – Ah ! fit-il. Et que fais-tu ? – Des choses que je ne fais pas en temps normal. – Oh ! Quel genre de choses ? J’ai souri et pris une gorgée en regardant droit devant moi. Ma tête s’était mise à tourner sérieusement et je me sentais bien. Le vieux m’observait toujours. Je portais un short qui résultait d’un vieux jean que j’avais découpé au début de l’été. Un t-shirt blanc et des tennis. – N’importe quelles choses, dis-je. – Vraiment ? – Vraiment. J’ai toute ma tête, mais l’alcool me désinhibe. – Tu me donnerais un exemple de choses ? Je me suis tournée vers lui. Son visage était à cinquante centimètres du mien. Je l’aimais bien. Il me rappelait un professeur que j’avais eu au lycée. Un homme aimable, attentif, attachant. – C’est compliqué, dis-je. Vous êtes le grand-père de mon copain. – Oublie tout ça. Nous sommes tous les deux et je vais te dire quelque chose : tu n’es pas la première que Luc emmène ici. – Je sais. – Ni la dernière dit-il. – Sans doute. – Alors nous sommes d’accord, ma petite. Maintenant dis-moi ce que tu fais quand tu es ivre. J’ai de nouveau souri, puis j’ai fini mon verre avant lui. Je le lui ai tendu et il s’est empressé de me resservir. J’ai bu et il s’est approché encore de moi pour répéter : – De quoi tu as peur ? – Je n’ai pas peur. Je vous aime bien. – Tu m’en vois ravi, ma mignonne. Moi aussi, je t’aime bien. Tu es jolie comme un cœur. Dis-moi ce que tu fais quand tu es bourrée. J’ai cessé de sourire et répondu : – Je fais ce ...